Montre .65

Montre .65 C’est un projet réalisé pour une entreprise hongkongaise de fabrication de montres. Le pitch de ce projet 3D est que les aiguilles de la montre sont déportées, par rapport à la version classique et les comodos également. .65 reprend le 6 d’une horloge et le concept de la moitié, exprimé par le 0.5. Le projet « Montre .65 » est un projet en 3D qui a été conçu pour offrir un design innovant et une fonctionnalité avancée. Ce projet utilise les dernières technologies pour créer un chronographe qui est à la fois esthétiquement plaisante et fonctionnelle. L’horloge est conçue avec un boîtier en acier inoxydable de haute qualité et est équipée d’un bracelet en cuir. Elle dispose d’un mouvement automatique suisse, d’un verre saphir résistant aux rayures et d’une étanchéité de 10 ATM pour une utilisation en toute sécurité dans l’eau. Le design de la montre .65 est unique et moderne. Elle possède un cadran noir avec des index lumineux pour une lecture facile de l’heure dans des conditions de faible luminosité. Le design de la montre est épuré, élégant et intemporel, qui s’adapte à n’importe quel style vestimentaire. En utilisant la technologie 3D, le projet Montre .65 a permis de créer un design détaillé et précis qui a ensuite été utilisé pour fabriquer la montre. Cette méthode de conception a permis de créer un prototype virtuel de la montre avant sa production, ce qui a permis de détecter et de corriger les erreurs avant la production en série. En résumé, le projet « Montre .65 » est un projet 3D qui a été conçu pour offrir un design innovant et une fonctionnalité avancée. Il utilise des matériaux de haute qualité, comme l’acier inoxydable et le cuir, ainsi qu’un mouvement automatique suisse pour garantir une précision et une durabilité exceptionnelles. Le design du chronographe est épuré, élégant et intemporel, adapté à tous les styles vestimentaires. La technologie 3D utilisée dans ce projet a permis de créer un prototype virtuel du chronomètre avant sa production, ce qui a permis de détecter et de corriger les erreurs avant la production en série.
Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France

Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France Madame la secrétaire d’État, Madame et Monsieur les ministres, Trouvez-vous normal qu’aujourd’hui en France : Professionnels indépendants, studios de création, collectifs ou agences de communication, futurs diplômés des arts graphiques, nous dénonçons depuis des années les plates-formes reposant sur l’industrialisation du travail gratuit des créatifs. Celles-ci, pourtant, continuent chaque jour de faire l’actualité. Sous couvert d’une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d’une main d’œuvre qu’ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales.Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l’économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d’emplois qu’elles n’en créent. Le principe en est simple, mais pas moins délétère : à chaque client soumettant un projet en quelques consignes, ces plates-formes promettent des dizaines – sinon des centaines – de travaux réalisés sur mesure et livrés par autant d’intervenants. Le donneur d’ordre y fera librement son choix, quitte à exiger un nombre indéfini de retouches et modifications, puis seul le gagnant ou le tiercé de tête sera rémunéré à vil prix, tandis que la société intermédiaire elle, fera sa marge à chaque projet grâce à tous ces travaux gratuits qu’elle aura bel et bien vantés dans son offre. Ceci n’est pas le principe d’un appel d’offre, dans lequel des prestataires sont sélectionnés et rémunérés pour livrer des consultations, et pas des travaux finis. Ni celui d’un concours, respectant une législation particulière ici balayée.Ceci n’est pas un modèle collaboratif, ou crowdsourcing, dans lequel les volontés se rassemblent pour développer bénévolement des projets libres qui profiteront à tous.Ceci n’est pas une prestation créative de qualité, qui implique nécessairement une étroite relation entre le client et l’expert chargé de transmettre ses valeurs, son histoire, son message. Ceci n’est un exemple pour personne. Nous sommes des entrepreneurs. Nous créons nos emplois, et des emplois pour nos collaborateurs. Nous vivons chaque jour avec la concurrence, fût-elle à bas coût. Nous l’avons acceptée et jouons son jeu. Mais ce jeu implique des règles. Attirer des milliers de personnes dans le salariat dissimulé pour s’épargner de les rémunérer décemment ou de payer son dû à l’État n’en fait pas partie. Faire travailler gratuitement les créatifs pour construire une offre commerciale à bon compte ne doit pas être toléré.Quel avenir pour nos professions, si demain chaque projet rémunéré implique d’en avoir réalisé des dizaines d’autres gratuitement ? Combien d’entre nous survivront à cette tendance alors que les budgets sont déjà si difficiles à décrocher ? Devons-nous réellement accepter la concurrence d’une nébuleuse d’entités organisant le travail clandestin à grande échelle, niant toute valeur à la création ? Graphistes, illustrateurs, designers web, UI, UX, motion, directeurs artistiques ou architectes de l’information, nous sommes ouverts à la modernité. Nous en sommes même les étendards : les nouvelles technologies de la communication et l’innovation perpétuelle par l’image sont le support et l’objet de notre expression. Mais toute évolution n’est pas un progrès, et c’est parce que nous sommes le progrès que nous sommes légitimes à dénoncer ceux qui se cachent derrière une modernité de façade pour encourager un retour en arrière majeur des conditions de travail de chacun, qui se vantent dans les médias de résultats impressionnants construits sur le salariat dissimulé, et s’esclaffent sur les réseaux à l’ombre de la passivité des autorités de contrôle. Ceux qui promeuvent la quantité, qui vendent de la création au kilo, au détriment de la qualité dont sont capables les créatifs français. Ceux enfin qui excusent leurs pratiques par le simple fait qu’ils « n’obligent personne », comme si cela suffisait à tout justifier ou à prouver les bienfaits de leur démarche, comme si l’exploitation de la naïveté des moins expérimentés – ou des plus désespérés – n’était pas une réalité permanente dans le monde de la création. Car ne nous y trompons pas, cette tendance au travail non rémunéré n’est pas limitée au secteur de l’image, elle se répand dans tout le tertiaire. Déjà sur les blogs et les communautés, les articles fleurissent décrivant des phénomènes similaires dans les métiers de la production écrite : journalistes, rédacteurs, traducteurs… Pendant que de plus en plus de commerciaux ou d’ingénieurs tombent dans le piège des « mois d’essais » effectués sans contrats ni rémunération. Hier c’est même le secteur du développement qui a vu apparaître ses premiers Hackathon – événements à l’origine collaboratifs et bénévoles – être détournés et exploités commercialement. Le 26 mai 2014, Madame la secrétaire d’État, vous avez déclaré qu’une de ces sociétés avait un “rôle d’exemplarité à jouer. Vous êtes la France qui gagne”… Vous avez choisi d’ériger en exemple de la France qui gagne un modèle qui s’alimente du travail non rémunéré de milliers de citoyens, et ne génère dans son sillon que plus de précarité. Vous comprendrez donc notre indignation. Jusqu’alors, beaucoup d’entre nous pariaient sur la formation et l’information mutuelle des créatifs et de leurs clients. Par des articles, des interventions, des conférences, des ouvrages à vocation professionnelle, nous tentions de donner à tous le sens des bonnes pratiques et l’envie de se battre pour des conditions de travail légales et équilibrées, pour une qualité de production renforcée. Mais ces fragiles initiatives sont peu de choses quand l’État valide au plus haut niveau un système pervers, en fait un exemple pour tous, et voici donc l’objet de notre colère. L’incitation à entreprendre en France ne peut se faire au prix d’une régression sociale et culturelle, au détriment du droit du travail et de dizaines de milliers de professionnels responsables travaillant chaque jour dans un esprit qualitatif. La FrenchTech, dont vous vous faites l’ambassadrice, n’est-elle pas là pour promouvoir l’excellence ? Nous ne levons certes pas des millions auprès des investisseurs, nous ne jouissons pas des faveurs des chaînes
Recrutement de graphistes de nos jours

Recrutement de graphistes : un paradoxe assez troublant. Les amis, souvent dans ma carrière depuis fin 2005 (ça ne nous rajeunit pas, je sais), il m’arrive de passer des entretiens divers et variés. La plupart du temps liés au recrutement soit dans le cadre d’un projet donné (le plus souvent). Soit pour un CDI, une mission en régie et ainsi de suite. Je suis en freelance depuis prés de 10 ans maintenant. J’en ai donc un certain nombre de ce genre d’évènements à mon actif. Et la plupart du temps cela se passe merveilleusement bien. J’ai effectivement eu la chance de croiser dans les 90% des cas des personnes ayant une certaine connaissance des tarifs pratiqués sur le marché, sachant plus ou moins dans quelle direction elles souhaitaient aller. Bref, des pros, pas toujours dans le graphisme, c’est sûr (sinon, elles ne feraient pas appel à mes services). Mais dans leur domaine, c’est plus que certain. Qu’est-ce qu’un bon recruteur? Dans l’idéal, ce serait une personne qui a un besoin de confier une tâche à un professionnel, ayant une certaine connaissance des impératifs que ça comporte. Autrement dit, sachant parler le même language et ayant un minimum de respect pour son interlocuteur. Les recruteurs ou alors les prospects, devenus clients par la suite, que j’ai pu rencontrer, dans les 90% des cas, ont plus ou moins rempli cette condition, si je puis me permettre de la nommer ainsi. En revanche, il reste 10%. Et là, c’est une véritable cour des miracles. Je passe sur les gens qui veulent un site marchand de A à Z en ayant 500€ de budget en tout et pour tout. Les tentatives plus ou moins adroites de faire bosser gratuitement un graphiste en lui faisant miroiter je ne sais quels gains mirobolants aussi. Et puis les organisateurs de soirées qui veulent vous faire de la pub sur leur flyer en échange de la créa gratuite. Toute personne ayant déjà été freelance depuis plus de 6 mois connaît très bien cette chanson-là. Et le sujet a été déjà abordé à de nombreuses reprises par énormément de personnes, surtout depuis mai 2012. Je voudrais m’intéresser dans ce billet au recrutement de graphistes pour des contrats dits « permanents ». CDI, CDD, Intérim, régie, bref, tous les jobs impliquant le travail in situ chez l’employeur. Alors, autant l’intérim et les contrats en régie ne posent a priori aucun souci. Autant un entretien pour un CDI ou un CDD peut se révéler, disons, surprenant. Et au final, amusant, bien qu’on a plus envie de rire jaune qu’autre chose. En théorie, le DRH vous explique ce qu’il attend de vous. Puis aborde les aspects organisationnels et financiers de la chose. Et dans les 90% des cas, c’est de cette manière que cela se passe. Sauf que certains prennent clairement les candidats pour des cons. Alors, un entretien-type que j’appelle « 10% », se passe grosso modo de cette manière. Vous arrivez le plus souvent dans les locaux de la société se situant assez loin de Paris (je suis parisien, mais le principe est le même avec votre ville), dans une zone industrielle. S’il s’agit d’une « agence de communication », n’espérez pas de travailler pour L’Oréal, ni pour Dior. Peut-être pour les pizzas du coin, et encore. Une fois que vous avez trouvé le bon endroit (car les indications sont plus que vagues, quand il y en a) et que vous avez annoncé votre venue à l’interphone, vous êtes reçu par le PDG de ladite agence. Avec son assistant(e) ou pas. Ce monsieur vous présente dans les grandes lignes sa société, et plus précisément « le pôle de communication » qu’il ont ouvert il y a tant de temps et que vous êtes censé intégrer incessamment sous peu. Au cours de sa présentation, vous remarquez que sa boite tourne à 90% autour d’un seul client. Ou peut-être 2 ou 3, mais principalement un, puisque les autres ne donnent plus signe de vie depuis 2-3 ans. Pas très rassurant, tout ça…Car si ce client principal leur dit « merde » pour une raison quelconque, vous êtes au chômage. Le pôle communication, quant à lui, n’est pas vraiment un foudre de guerre non plus. Ses principales missions étant l’exécution des catalogues chartés à mort sans possibilité d’innovation quelconque . Ah oui, il y a le concessionnaire d’en face qui aimerait faire des flyers pour la dernière caisse qu’il vend. Car c’est une telle épave qu’il arrive pas à la fourguer. Charmant, quoi. C’est là que vous vous poser la question sur la raison de votre présence. Vient alors votre tour de parler. Vous vous présentez, vous dites que vous avez 10 ans de métier, que les 10 sont en freelance. Ensuite, vous montrez votre portfolio avec vos réalisations. Et vous racontez qui vous êtes et ce que vous avez fait professionnellement, jusqu’à cet instant. S’en suivent quelques questions-bateau, du genre si vous connaissez bien Photoshop et Dreamweaver (lol), si vous savez faire des découpes Photoshop en <td> (LOL), et si vous savez ce qu’est le language HTML (LOLZ). Vous vous demandez si votre interlocuteur a réellement écouté ce que vous venez de dire. Ou si, au moins, il a pense à lire en diagonale votre CV. Manifestement pas vraiment, puisque la suite est encore plus surprenante / amusante / paradoxale. Le recrutement de graphistes ou de qui que ce soit, d’ailleurs, implique une contrepartie financière, le salaire, en somme. Vous posez la question fatidique, et la, ô surprise ! On vous explique que d’abord, ils vont faire une shortlist à présenter à la direction de leur principal client. Au fait, qui me recrute, vous ou votre client? Si vous êtes sélectionné, vous aurez un test à faire CHEZ VOUS. Une fois que ce test est sélectionné, lui aussi, on parlera salaire. Vous disiez que vous avez 10 ans de métier, dont les 10 en free, vous vous rappelez? Ça voulait aussi dire qu’en 10 ans j’ai rencontré énormément de monde. Des gens bien, des gens un peu moins bien aussi. Des
Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants

Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants. Chers amis ! Vous êtes sur le point d’ouvrir une entreprise ou c’est déjà fait depuis peu. C’est votre bébé, vous voulez la voir grandir et devenir une adulte belle et élancée, comme n’importe quel parent. Belle et élancée, fertile, assurant vos jours actuels et votre refaite plus tard. L’éducation d’un enfant signifie n’importe où dans le monde un investissement. C’est comme ça, je ne l’ai pas inventé, c’est la vie. Pour un bébé, pour l’instant, personne n’a encore trouvé le moyen efficace et éthique de modifier ses « données physiques ». En revanche, dans le cas d’une boite, on a un peu plus de chance, puisqu’on peut choisir. Cependant, beaucoup d’entre vous, chers entrepreneurs , choisissent de négliger totalement cet aspect très important de votre bébé d’amour. La plupart du temps, par souci d’économie. Les raisons sont nombreuses et la liste n’est pas exhaustive.Lorsque vous créez une boite, les 3 voire les 4 premières années, vous n’allez pas gagner l’argent. En revanche, vous allez en dépenser pour pouvoir en gagner cette « période d’essai » passée. Ça s’appelle un investissement. Ce que vous allez gagner par la suite, s’appelle le ROI. En anglais Return On Investment, autrement dit le retour sur l’investissement. Investir ne signifie pas nécessairement payer, c’est aussi et surtout du temps et du travail, nous sommes d’accord. Par contre, le retour est proportionnel à ce que vous avez donné. Il n’y a pas de mystère. Donc, l’investissement. Durant les 2-3-4 premières années, le but est de faire connaitre votre bébé. Montrer qu’il est le plus beau, qu’il est génial et ainsi de suite. Autrement dit, le premier poste de cette investissement est la communication. Et ça représente au minimum 60% de votre budget de fonctionnement annuel. Prenons un exemple plus ou moins concret : vous voulez vendre des t-shirts avec des dessins dessus. Mais vous ne savez pas dessiner. En revanche, vous savez que ce genre de concept peut plaire aux jeunes. Et à 20-25€ le t-shirt, ça devrait partir comme des petits pains. En y réfléchissant, vous vous dites que les jeunes sont en permanence sur internet. Donc il ne sert à rien de louer une boutique, payer des salaires, des charges, etc. Un site internet fera l’affaire sans souci.Et là vous vous dites que 300€ pour le site, ça devrait aller. Avec grosso modo autant pour les dessins et l’impression vous vous en sortirez pépère. Et commencerez à gagner de l’argent immédiatement. Oui, mais pas tout à fait. Premièrement, la concurrence sur le net est rude. Tout simplement parce que vous n’êtes pas le seul à avoir eu cette idée lumineuse. Des sites proposant des t-shirts, il y en a une tonne. Voire 2 ou 3.Donc, il faut vous démarquer de la concurrence. Créer quelque chose qui soit pas comme les autres. A commencer par un nom, avec une nom de domaine approprié qu’il faut acheter. Et surtout, un logo impactant. Ben oui, le logo. Ce truc machin chose qui vous suivra partout dans le monde et via lequel vos clients potentiels vont vous reconnaitre, comme c’est le cas avec Nike, Adidas, Lacoste et consorts. Un naming digne de ce nom, c’est à partir de 600€. Et un logo, tourne autour de 2500. Bien évidemment, faits par un professionnel expérimenté, sachant vous guider et vous conseiller dans votre projet, connaissant son métier et VOTRE problématique (autrement dit, vos clients potentiels, la gamme de vos prix, la direction dans laquelle votre projet est susceptible d’aller dans les grandes lignes etc.). Une fois le logo crée et son utilisation définie, vient le site. Dans cet exemple, vous vendez des t-shirts, donc, pour, encore une fois, vous démarquer, votre gamme doit être importante, quelque chose comme 50 produits distincts, voire plus. Un site boutique avec 50 produits se négocie entre 7000 et 10000€. Sauf si vous êtes développeur web vous même auquel cas vous en payerez que le design, quelque chose de l’ordre de 1000-1500€. Mais dans ce dernier cas, à vous les nuits blanches et les mains dans le cambouis. Et last, but ont thé least, les produits. Passons la fabrication et le stock, ici, nous parlons que des motifs de vos t-shirts. En prenant comme hypothèse de travail que vous avez 50 t-shirts avec des dessins différents sur chaque, vous avez un besoin impératif de 50 visuels. Voire légèrement plus, en tenant compte de la couleur du tissu (noir sur du noir ne se voit guère). Où les trouver, sachant que vous même, vous n’êtes pas graphiste, dessinateur et que disons, la seule chose que vous dessinez correctement est la tête à Toto? Là, pareil il faut faire appel à des gens qui savent faire, en leur proposant un deal honnête, pas un truc du genre « pourcentage sur chaque t-shirt vendu ». D’une part, vous serez considéré avec du sérieux de la part des éventuels prestataires, d’autre part, votre marge ne sera que plus importante, et de troisième part, vous n’allez pas vous retrouver avec des étudiants/bras cassés du métier/crèves-la-faim plus ou moins incompétents. A vous de négocier les tarifs, mais à la louche, vous allez vous retrouver avec 5000-10000€ en plus à dépenser. Pour résumer l’investissement financier de départ, 600+2500+7000+5000=15100€ minimum. Et nous n’avons pas parlé du référencement de votre boutique (8000€ par an) ni du stockage de vos produits (à la louche 1200 par an minimum), de la fabrication (mettons vous pensez à faire 100 t-shirts de chaque motif avec une couleur et une seule taille, ça nous fait 50X100, donc 5000 t-shirts en tout, la fabrication coûte en gros 7€ chaque, ce sera 35000€). Tout ça pour dire qu’avant de vous lancer, prenez le temps de réfléchir et regarder les options qui s’offrent à vous en procédant au « démontages sceptique » de votre idée du départ. Autrement dit voyez si c’est faisable ou pas, et si oui, combien ça coûte. Prenez conseil auprès des professionnels, demandez des devis, comparez non seulement le prix mais aussi ceci est proposé pour le prix en
Différents projets 3D

Projets 3D divers J’ai repris ici un certain nombre de projets 3D que j’ai fait en design produit, design de flacon etc. A l’époque, je ne faisais pas de 3D tout simplement, mais plus tard, j’ai pris la décision de les reprendre. La 3D est un moyen de visualiser et de concevoir des produits, des objets et des espaces de manière virtuelle. Les outils de modélisation 3D permettent de créer des images et des animations réalistes qui peuvent être utilisées pour la communication, la présentation et la vente de produits. Les projets 3D peuvent également être utilisés dans des domaines tels que l’architecture, l’ingénierie, la construction, l’animation, la publicité et le jeu vidéo. La modélisation 3D est un outil puissant pour les concepteurs et les ingénieurs, car il permet de visualiser les produits avant même qu’ils ne soient fabriqués. Cela permet de réduire les coûts de fabrication, de réduire les erreurs et de réduire les délais de mise sur le marché. Les projets 3D peuvent également être utilisés pour la création de maquettes numériques pour les présentations de vente ou pour la création de films d’animation pour la publicité ou la vente de produits. La 3D sont également utilisée pour créer des environnements de jeux vidéo, des films d’animation et des séries télévisées. Les outils de modélisation 3D permettent aux artistes et aux animateurs de créer des personnages, des décors et des effets visuels réalistes qui peuvent être utilisés pour raconter des histoires épiques et immersives.
Logos

Logos. Les logos sont l’un des aspects les plus importants de la communication visuelle d’une entreprise. Cette petite chose, souvent, et à tort, considérée comme insignifiante, est le visage de ladite entreprise. Et il vaut mieux que son visage ressemble à celui d’un top-model, plutôt qu’à celui de Elephant Man, n’est-ce pas? Il est crucial pour une entreprise de disposer d’un logo efficace, qui reflète sa personnalité et sa mission. Les logos sont souvent la première chose que les clients remarquent lorsqu’ils découvrent une entreprise, et c’est pourquoi il est important qu’ils soient percutants et mémorables. La création d’un logo réussi nécessite une réflexion approfondie sur l’image que l’on souhaite renvoyer. Il est important de prendre en compte les valeurs de l’entreprise, son public cible et ses concurrents. Les logos réussis sont souvent simples, universels et faciles à reconnaître. Il est également important de considérer les différents contextes dans lesquels le logo sera utilisé. Il doit être efficace à la fois sur du papier, des objets promotionnels, sur des vêtements, sur les réseaux sociaux, etc. Il est important qu’il soit adaptable à différents formats et tailles pour s’adapter à tous les besoins de l’entreprise. Enfin, il est important de choisir des couleurs judicieusement pour renforcer l’impact visuel du logo. Les couleurs peuvent évoquer des émotions et des associations d’idées, il est donc important de bien les sélectionner pour renforcer l’image que l’on souhaite renvoyer. Les logos sont l’un des aspects les plus importants de la communication visuelle d’une entreprise. Ils doivent refléter les valeurs de l’entreprise, être percutants et mémorables, et adaptables à différents contextes et formats.
Big Ben Interacive : Stand de salon

Projet de Stand de salon 3D pour Big Ben interactive Big Ben Interactive est une société-éditrice de jeux vidéos. Lors de divers salons, cette entreprise, à l’instar de leur concurrents, crée un stand pour exposer leurs produits. Le projet de stand de salon 3D pour Big Ben Interactive est un excellent exemple de la manière dont une entreprise peut utiliser la technologie pour se démarquer lors d’événements commerciaux. En utilisant des techniques de rendu 3D avancées, l’entreprise a été en mesure de créer un stand immersive qui a attiré l’attention des visiteurs du salon. Le stand de Big Ben Interactive mettait en valeur les derniers jeux vidéo de la société-éditrice, avec des écrans géants présentant des bandes-annonces et des démos jouables. Les visiteurs ont pu également interagir avec les personnages de jeux vidéo en utilisant la réalité virtuelle, ce qui a permis de les plonger dans l’univers de ces jeux. En utilisant des éléments de design innovants tels que les projections vidéo et les effets sonores, le projet de stand a su créer une expérience immersive pour les visiteurs. Cela a permis à l’entreprise de se démarquer des autres exposants et d’attirer l’attention sur ses produits. Big Ben Interactive a également profité de cette occasion pour présenter ses futurs projets de jeux vidéo, avec des démos de jeux en cours de développement, des images conceptuelles, des vidéos de développement et des interviews avec les développeurs. Le projet de stand de salon 3D pour Big Ben Interactive est un exemple de la manière dont une entreprise peut utiliser les dernières technologies pour créer une expérience de marque immersive pour les visiteurs. Les éléments de design innovants et les technologies immersives ont permis à l’éditeur de jeux de se démarquer des autres exposants et d’attirer l’attention sur ses produits du moment (2009).