Pâques des Jeunesses Orthodoxes de France – Affiche

Pâques avec Jeunesses Orthodoxes de France

Affiche de Pâques à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité à Paris La Cathédrale Russe de la Sainte Trinité à Paris célèbre chaque année Pâques avec une cérémonie spéciale et une affiche de Pâques pour promouvoir l’événement. Cette affiche est un outil clé pour attirer les fidèles à la célébration et rappeler l’importance de cette fête religieuse. L’affiche de Pâques à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est conçue pour être attrayante avec des images et des couleurs vives. Elle met en avant les symboles de Pâques, tels que les oeufs, pour renforcer le thème de la fête. Elle inclut également des informations importantes sur la cérémonie, telles que la date et l’heure, ainsi que des informations sur les différentes activités organisées à cette occasion. La création de l’affiche de Pâques à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est un processus important pour les organisateurs de l’événement. Les organisateurs travaillent en étroite collaboration avec les artistes et les graphistes pour créer une affiche qui reflète les traditions et qui est attrayante pour les fidèles. Ils cherchent à créer une affiche qui reflète l’esprit de cette fête religieuse et qui attire les gens à venir célébrer Pâques à la cathédrale. La célébration de Pâques à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est un moment important pour les fidèles de la communauté russe orthodoxe à Paris. Cette célébration est l’occasion de se rassembler en famille et en communauté pour célébrer la résurrection de Jésus-Christ. L’affiche de Pâques à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est un outil important pour promouvoir cette célébration et attirer les personnes intéressées à y participer. En utilisant des images et des couleurs vives, l’affiche attire l’attention des gens et les incite à en savoir plus sur l’événement. En incluant des informations détaillées sur la cérémonie, les organisateurs assurent que les personnes intéressées sont informées de l’heure et de l’emplacement exact de la célébration. En résumé, cette affiche est un outil important pour promouvoir la célébration de Pâques dans cette communauté. Conçue pour être attrayante et inclure des informations importantes sur la cérémonie, elle attire l’attention des gens et les incite à en savoir plus sur l’événement. Elle est créée en collaboration avec des artistes pour refléter les traditions de Pâques et attirer les fidèles à venir célébrer cette fête religieuse.

Vêpres de La Jeunesse Orthodoxe en France – Affiche

Affiche des Vêpres de La Jeunesse Orthodoxe en France

Affiche des Vêpres à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité à Paris Les vêpres sont un service religieux important dans la liturgie orthodoxe russe et sont célébrées quotidiennement dans la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité à Paris. Pour promouvoir cette prière, l’église crée une affiche pour chaque semaine qui attire l’attention des fidèles de la communauté sur les vêpres à venir. L’affiche des vêpres à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est conçue pour être attrayante et informative. Elle inclut les informations importantes sur les vêpres, telles que l’heure et la date, ainsi que le thème de la semaine. Elle utilise également des images et des motifs religieux pour renforcer le thème religieux et rappeler les fidèles de l’importance de cette célébration. La création de l’affiche est un processus important pour les organisateurs de l’église. Ils travaillent en étroite collaboration avec Serguei Tchepik pour créer une affiche qui reflète les traditions de l’église et qui est attrayante pour les fidèles. Ils cherchent à créer une affiche qui attire l’attention des gens et les incite à venir célébrer les vêpres. Les vêpres sont un moment important pour la communauté orthodoxe russe à Paris. C’est l’occasion pour les fidèles de se rassembler en communauté et de prier ensemble. Cette affiche é est un outil important pour promouvoir cette célébration et attirer les personnes intéressées à y participer. En utilisant des images et des motifs religieux, elle renforce le thème des vêpres et rappelle aux gens l’importance de cette prière dans la liturgie orthodoxe. En incluant les informations détaillées sur l’évènement, comme l’heure et la date, l’affiche permet aux personnes intéressées de planifier leur participation. Cela permet également aux organisateurs de l’église de planifier efficacement les vêpres en sachant combien de personnes assisteront à chaque service. En résumé, l’affiche des vêpres à la Cathédrale Russe de la Sainte Trinité est un outil important pour promouvoir l »évènement dans la communauté orthodoxe russe à Paris. Conçue pour être attrayante et informative, elle attire l’attention des gens et les incite à venir célébrer. Elle est créée en collaboration avec Serguei Tchepik pour refléter les traditions de l’église et renforcer le thème des vêpres. C’est un moment important pour les fidèles de se rassembler en communauté et de prier ensemble, l’affiche est un outil efficace pour les promouvoir.

Exposition « Regard d’un photographe sur l’atelier d’un peintre »

Regard d'un photographe sur l'atelier d'un peintre

Regard d’un photographe sur l’atelier d’un peintre. Le regard d’un photographe est souvent empreint d’un certain mysticisme concernant le temps, car la photographie le fige. Du 20 janvier au 13 février 2016, à la Galerie Russkiy Mir se tiendra une exposition commune de Jean-François Guillon et Sergei Chepik, traitant des secrets de l’atelier d’un peintre vu par un photographe. Y seront exposés les photos de Jean-François Guillon et quelques œuvres de Sergei Chepik. L’exposition « Regard d’un photographe sur l’atelier d’un peintre » offre aux visiteurs l’opportunité de découvrir le monde de la création artistique sous un angle unique. Cette exposition présente les photographies d’un photographe professionnel qui a capturé le quotidien de l’atelier d’un peintre célèbre. Le regard du photographe sur l’atelier est à la fois intime et fascinant. Les photographies présentées montrent les outils et les matériaux utilisés par le peintre, ainsi que les étapes de la création d’une œuvre d’art. Les photographies captivent les visiteurs en leur donnant un aperçu exclusif de l’envers du décor de l’atelier d’un peintre. Cette exposition est également une occasion de découvrir les œuvres du peintre en question, qui sont également présentées dans l’exposition. Les photographies prises par le photographe permettent aux visiteurs de mieux comprendre le processus créatif du peintre et de découvrir les inspirations et les influences qui ont guidé ses œuvres. En utilisant le mot-clé « regard », l’exposition souligne l’importance de la perspective dans la compréhension de l’art. Le regard du photographe sur l’atelier permet aux visiteurs de voir les choses sous un angle différent et de découvrir des aspects de la création artistique qu’ils n’auraient pas remarqués autrement. En résumé, l’exposition « Regard d’un photographe sur l’atelier d’un peintre » offre aux visiteurs l’opportunité de découvrir le monde de la création artistique sous un angle unique. Elle présente les photographies d’un photographe professionnel qui a capturé le quotidien de l’atelier d’un peintre célèbre. Elle permet aux visiteurs de mieux comprendre le processus créatif du peintre et de découvrir les inspirations et les influences qui ont guidé ses œuvres. En utilisant le mot-clé « regard », l’exposition souligne l’importance de la perspective dans la compréhension de l’art.

Site Trend & Tendance – http://www.trendtendance.com

Trend & Tendance - site

Trend & Tendance Le site Trend & Tendance avait besoin d’un relifting moteur et relifting design majeur. Alors, il s’agit d’un portail « news » consacré au monde de la mode et du fashion design. Pour l’heure, Trend & Tendance est disponible en Français et en Russe, mais une version anglaise est prévue très prochainement. Il est important de rester à jour sur les tendances actuelles pour être compétitif dans n’importe quel domaine. Les tendances peuvent être vues dans la mode, la technologie, les designs, la publicité, et plus encore. Pour suivre les tendances, il est important de s’informer sur les dernières actualités, les blogs de tendances, les défilés de mode et les expositions de design. Cependant, il est important de ne pas simplement copier les tendances, mais plutôt de s’en inspirer pour créer quelque chose de nouveau et d’original. Il est également important de ne pas sacrifier son propre style en suivant les tendances, mais de trouver un équilibre entre suivre les tendances et rester fidèle à soi-même. Il est important de noter que les tendances changent constamment, il est donc crucial de rester à jour et d’être flexible pour s’adapter aux changements. Les tendances peuvent également varier selon les industries et les marchés. Il est donc important de cibler les tendances qui sont pertinentes pour votre entreprise et de les utiliser à votre avantage. En résumé, pour réussir dans n’importe quel domaine, il est crucial de rester informé sur les tendances actuelles et d’utiliser cette connaissance pour créer quelque chose de nouveau et d’excitant. Il est important de ne pas simplement copier les tendances, mais plutôt de s’en inspirer pour créer quelque chose de nouveau et d’original. Il est également important de ne pas sacrifier son propre style en suivant les tendances, mais de trouver un équilibre entre suivre les tendances et rester fidèle à soi-même.Pour y faire un tour, pour voir c’est par ici

Bannière d’un évènement Facebook pour Les Républicains

Républicains - Bannière Évènement Facebook

Bannière d’un évènement Facebook organisé par Les Républicains. Les Républicains organisaient en événement pour les jeunes du 17ème arrondissement de Paris. Il s’agissait d’une soirée dans le cadre de la campagne de Valérie Pecresse pour la présidence de l’Ile-de-France. Alors, la bannière que voici a été réalisée pour en faire la promotion sur les réseaux sociaux. Il est important de souligner l’engagement des Républicains pour les jeunes de la communauté. Cette soirée organisée dans le 17ème arrondissement de Paris en est un exemple concret. Il s’agissait d’un événement de campagne pour la présidence de l’Ile-de-France, mené par Valérie Pecresse. La bannière créée pour cette occasion, qui met en avant les valeurs des Républicains, a été diffusée sur les réseaux sociaux pour en faire la promotion. Cette soirée était l’occasion pour les jeunes de discuter avec les responsables politiques et de poser des questions sur les enjeux importants pour eux. Les Républicains montrent ainsi leur engagement en faveur de l’engagement citoyen et de la participation des jeunes à la vie politique. C’est une belle occasion pour les jeunes de s’informer et de s’engager pour l’avenir de leur communauté. Il est important de souligner que les partis politiques jouent un rôle crucial dans la vie de notre société. Les Républicains sont l’un des principaux partis politiques en France, et ils ont organisé un événement pour les jeunes du 17ème arrondissement de Paris. L’objectif de cet événement était de promouvoir la campagne de Valérie Pecresse pour la présidence de l’Ile-de-France. Pour promouvoir cet événement, les organisateurs ont créé une bannière spéciale pour être utilisée sur les réseaux sociaux. Il est évident que les partis politiques doivent utiliser des méthodes modernes pour atteindre les jeunes générations. Les réseaux sociaux sont devenus un moyen incontournable pour promouvoir les campagnes électorales, et cette bannière est un excellent exemple de cela. Elle montre que les Républicains ont compris l’importance de s’adapter aux nouvelles technologies pour atteindre leur public cible. Cette bannière créée pour promouvoir l’événement des Républicains est un exemple d’utilisation efficace des réseaux sociaux dans le cadre d’une campagne électorale. Elle montre que pour être efficace, il faut savoir s’adapter aux nouvelles technologies et aux habitudes de consommation de l’information de notre société moderne.

Séduire une femme Asiatique – Site web

Séduire une femme Asiatique

Séduire une femme Asiatique « Séduire une femme Asiatique » concerne aussi bien l’édition que le Web. Dans un premier temps, il s’agissait de mettre en page un petit livret de 36 pages, agrémenté de photos. Dans un second temps Il a fallu également créer un site web pour la vente dudit livre. Le sujet de « Séduire une femme Asiatique » est un thème complexe qui a suscité beaucoup d’intérêt au cours des dernières années. Pour aider les hommes à comprendre les nuances de la séduction d’une femme asiatique, un projet a été lancé pour créer un livret de 36 pages, riche en photos et en conseils pratiques. Ce livret a été conçu pour offrir une perspective unique sur la séduction, mettant l’accent sur les différences culturelles et les préférences des femmes asiatiques. En parallèle, un site web a également été créé pour la vente de ce livret. Ce site web est conçu pour être facile à utiliser, avec une navigation claire et une présentation attrayante des informations. Il a été conçu pour être accessible aux utilisateurs de tous niveaux de compréhension, offrant des conseils pratiques et des informations de fond sur la séduction d’une femme asiatique. Le livret et le site web sont tous deux conçus pour offrir une expérience complète aux utilisateurs, permettant à chacun de comprendre les nuances de la séduction d’une femme asiatique. Les conseils pratiques et les informations de fond sont présentés de manière à être facilement applicables, offrant ainsi aux utilisateurs les outils nécessaires pour réussir dans leur quête de séduire une femme asiatique. En somme, ce projet est le choix idéal pour tous ceux qui cherchent à comprendre les subtilités de la séduction d’une femme asiatique.

Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France

Exploitation du travail gratuit - Axelle Lemaire

Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France Madame la secrétaire d’État, Madame et Monsieur les ministres, Trouvez-vous normal qu’aujourd’hui en France : Professionnels indépendants, studios de création, collectifs ou agences de communication, futurs diplômés des arts graphiques, nous dénonçons depuis des années les plates-formes reposant sur l’industrialisation du travail gratuit des créatifs. Celles-ci, pourtant, continuent chaque jour de faire l’actualité. Sous couvert d’une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d’une main d’œuvre qu’ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales.Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l’économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d’emplois qu’elles n’en créent. Le principe en est simple, mais pas moins délétère : à chaque client soumettant un projet en quelques consignes, ces plates-formes promettent des dizaines – sinon des centaines – de travaux réalisés sur mesure et livrés par autant d’intervenants. Le donneur d’ordre y fera librement son choix, quitte à exiger un nombre indéfini de retouches et modifications, puis seul le gagnant ou le tiercé de tête sera rémunéré à vil prix, tandis que la société intermédiaire elle, fera sa marge à chaque projet grâce à tous ces travaux gratuits qu’elle aura bel et bien vantés dans son offre. Ceci n’est pas le principe d’un appel d’offre, dans lequel des prestataires sont sélectionnés et rémunérés pour livrer des consultations, et pas des travaux finis. Ni celui d’un concours, respectant une législation particulière ici balayée.Ceci n’est pas un modèle collaboratif, ou crowdsourcing, dans lequel les volontés se rassemblent pour développer bénévolement des projets libres qui profiteront à tous.Ceci n’est pas une prestation créative de qualité, qui implique nécessairement une étroite relation entre le client et l’expert chargé de transmettre ses valeurs, son histoire, son message. Ceci n’est un exemple pour personne. Nous sommes des entrepreneurs. Nous créons nos emplois, et des emplois pour nos collaborateurs. Nous vivons chaque jour avec la concurrence, fût-elle à bas coût. Nous l’avons acceptée et jouons son jeu. Mais ce jeu implique des règles. Attirer des milliers de personnes dans le salariat dissimulé pour s’épargner de les rémunérer décemment ou de payer son dû à l’État n’en fait pas partie. Faire travailler gratuitement les créatifs pour construire une offre commerciale à bon compte ne doit pas être toléré.Quel avenir pour nos professions, si demain chaque projet rémunéré implique d’en avoir réalisé des dizaines d’autres gratuitement ? Combien d’entre nous survivront à cette tendance alors que les budgets sont déjà si difficiles à décrocher ? Devons-nous réellement accepter la concurrence d’une nébuleuse d’entités organisant le travail clandestin à grande échelle, niant toute valeur à la création ? Graphistes, illustrateurs, designers web, UI, UX, motion, directeurs artistiques ou architectes de l’information, nous sommes ouverts à la modernité. Nous en sommes même les étendards : les nouvelles technologies de la communication et l’innovation perpétuelle par l’image sont le support et l’objet de notre expression. Mais toute évolution n’est pas un progrès, et c’est parce que nous sommes le progrès que nous sommes légitimes à dénoncer ceux qui se cachent derrière une modernité de façade pour encourager un retour en arrière majeur des conditions de travail de chacun, qui se vantent dans les médias de résultats impressionnants construits sur le salariat dissimulé, et s’esclaffent sur les réseaux à l’ombre de la passivité des autorités de contrôle. Ceux qui promeuvent la quantité, qui vendent de la création au kilo, au détriment de la qualité dont sont capables les créatifs français. Ceux enfin qui excusent leurs pratiques par le simple fait qu’ils « n’obligent personne », comme si cela suffisait à tout justifier ou à prouver les bienfaits de leur démarche, comme si l’exploitation de la naïveté des moins expérimentés – ou des plus désespérés – n’était pas une réalité permanente dans le monde de la création. Car ne nous y trompons pas, cette tendance au travail non rémunéré n’est pas limitée au secteur de l’image, elle se répand dans tout le tertiaire. Déjà sur les blogs et les communautés, les articles fleurissent décrivant des phénomènes similaires dans les métiers de la production écrite : journalistes, rédacteurs, traducteurs… Pendant que de plus en plus de commerciaux ou d’ingénieurs tombent dans le piège des « mois d’essais » effectués sans contrats ni rémunération. Hier c’est même le secteur du développement qui a vu apparaître ses premiers Hackathon – événements à l’origine collaboratifs et bénévoles – être détournés et exploités commercialement. Le 26 mai 2014, Madame la secrétaire d’État, vous avez déclaré qu’une de ces sociétés avait un “rôle d’exemplarité à jouer. Vous êtes la France qui gagne”… Vous avez choisi d’ériger en exemple de la France qui gagne un modèle qui s’alimente du travail non rémunéré de milliers de citoyens, et ne génère dans son sillon que plus de précarité. Vous comprendrez donc notre indignation. Jusqu’alors, beaucoup d’entre nous pariaient sur la formation et l’information mutuelle des créatifs et de leurs clients. Par des articles, des interventions, des conférences, des ouvrages à vocation professionnelle, nous tentions de donner à tous le sens des bonnes pratiques et l’envie de se battre pour des conditions de travail légales et équilibrées, pour une qualité de production renforcée. Mais ces fragiles initiatives sont peu de choses quand l’État valide au plus haut niveau un système pervers, en fait un exemple pour tous, et voici donc l’objet de notre colère. L’incitation à entreprendre en France ne peut se faire au prix d’une régression sociale et culturelle, au détriment du droit du travail et de dizaines de milliers de professionnels responsables travaillant chaque jour dans un esprit qualitatif. La FrenchTech, dont vous vous faites l’ambassadrice, n’est-elle pas là pour promouvoir l’excellence ? Nous ne levons certes pas des millions auprès des investisseurs, nous ne jouissons pas des faveurs des chaînes

Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants

Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants. Chers amis ! Vous êtes sur le point d’ouvrir une entreprise ou c’est déjà fait depuis peu. C’est votre bébé, vous voulez la voir grandir et devenir une adulte belle et élancée, comme n’importe quel parent. Belle et élancée, fertile, assurant vos jours actuels et votre refaite plus tard. L’éducation d’un enfant signifie n’importe où dans le monde un investissement. C’est comme ça, je ne l’ai pas inventé, c’est la vie. Pour un bébé, pour l’instant, personne n’a encore trouvé le moyen efficace et éthique de modifier ses « données physiques ». En revanche, dans le cas d’une boite, on a un peu plus de chance, puisqu’on peut choisir. Cependant, beaucoup d’entre vous, chers entrepreneurs , choisissent de négliger totalement cet aspect très important de votre bébé d’amour. La plupart du temps, par souci d’économie. Les raisons sont nombreuses et la liste n’est pas exhaustive.Lorsque  vous créez une boite, les 3 voire les 4 premières années, vous n’allez pas gagner l’argent. En revanche, vous allez en dépenser pour pouvoir en gagner cette « période d’essai » passée. Ça s’appelle un investissement. Ce que vous allez gagner par la suite, s’appelle le ROI. En anglais Return On Investment, autrement dit le retour sur l’investissement. Investir ne signifie pas nécessairement payer, c’est aussi et surtout du temps et du travail, nous sommes d’accord. Par contre, le retour est proportionnel à ce que vous avez donné. Il n’y a pas de mystère. Donc, l’investissement. Durant les 2-3-4 premières années, le but est de faire connaitre votre bébé. Montrer qu’il est le plus beau, qu’il est génial et ainsi de suite. Autrement dit, le premier poste de cette investissement est la communication. Et ça représente au minimum 60% de votre budget de fonctionnement annuel. Prenons un exemple plus ou moins concret :  vous voulez vendre des t-shirts avec des dessins dessus. Mais vous ne savez pas dessiner. En revanche, vous savez que ce genre de concept peut plaire aux jeunes. Et à 20-25€ le t-shirt, ça devrait partir comme des petits pains. En y réfléchissant, vous vous dites que les jeunes sont en permanence sur internet. Donc il ne sert à rien de louer une boutique, payer des salaires, des charges, etc. Un site internet fera l’affaire sans souci.Et là vous vous dites que 300€ pour le site, ça devrait aller. Avec grosso modo autant pour les dessins et l’impression vous vous en sortirez pépère. Et commencerez à gagner de l’argent immédiatement. Oui, mais pas tout à fait. Premièrement, la concurrence sur le net est rude. Tout simplement parce que vous n’êtes pas le seul à avoir eu cette idée lumineuse. Des sites proposant des t-shirts, il y en a une tonne. Voire 2 ou 3.Donc, il faut vous démarquer de la concurrence. Créer quelque chose qui soit pas comme les autres. A commencer par un nom, avec une nom de domaine approprié qu’il faut acheter. Et surtout, un logo impactant. Ben oui, le logo. Ce truc machin chose qui vous suivra partout dans le monde et via lequel vos clients potentiels vont vous reconnaitre, comme c’est le cas avec Nike, Adidas, Lacoste et consorts. Un naming digne de ce nom, c’est à partir de 600€. Et un logo, tourne autour de 2500. Bien évidemment, faits par un professionnel expérimenté, sachant vous guider et vous conseiller dans votre projet, connaissant son métier et VOTRE problématique (autrement dit, vos clients potentiels, la gamme de vos prix, la direction dans laquelle votre projet est susceptible d’aller dans les grandes lignes etc.). Une fois le logo crée et son utilisation définie, vient le site. Dans cet exemple, vous vendez des t-shirts, donc, pour, encore une fois, vous démarquer, votre gamme doit être importante, quelque chose comme 50 produits distincts, voire plus. Un site boutique avec 50 produits se négocie entre 7000 et 10000€. Sauf si vous êtes développeur web vous même auquel cas vous en payerez que le design, quelque chose de l’ordre de 1000-1500€. Mais dans ce dernier cas, à vous les nuits blanches et les mains dans le cambouis. Et last, but ont thé least, les produits. Passons la fabrication et le stock, ici, nous parlons que des motifs de vos t-shirts. En prenant comme hypothèse de travail que vous avez 50 t-shirts avec des dessins différents sur chaque, vous avez un besoin impératif de 50 visuels. Voire légèrement plus, en tenant compte de la couleur du tissu (noir sur du noir ne se voit guère). Où les trouver, sachant que vous même, vous n’êtes pas graphiste, dessinateur et que disons, la seule chose que vous dessinez correctement est la tête à Toto? Là, pareil il faut faire appel à des gens qui savent faire, en leur proposant un deal honnête, pas un truc du genre « pourcentage sur chaque t-shirt vendu ». D’une part, vous serez considéré avec du sérieux de la part des éventuels prestataires, d’autre part, votre marge ne sera que plus importante, et de troisième part, vous n’allez pas vous retrouver avec des étudiants/bras cassés du métier/crèves-la-faim plus ou moins incompétents. A vous de négocier les tarifs, mais à la louche, vous allez vous retrouver avec 5000-10000€ en plus à dépenser. Pour résumer l’investissement financier de départ, 600+2500+7000+5000=15100€ minimum. Et nous n’avons pas parlé du référencement de votre boutique (8000€ par an) ni du stockage de vos produits (à la louche 1200 par an minimum), de la fabrication (mettons vous pensez à faire 100 t-shirts de chaque motif avec une couleur et une seule taille, ça nous fait 50X100, donc 5000 t-shirts en tout, la fabrication coûte en gros 7€ chaque, ce sera 35000€). Tout ça pour dire qu’avant de vous lancer, prenez le temps de réfléchir et regarder les options qui s’offrent à vous en procédant au « démontages sceptique » de votre idée du départ. Autrement dit voyez si c’est faisable ou pas, et si oui, combien ça coûte. Prenez conseil auprès des professionnels, demandez des devis, comparez non seulement le prix mais aussi ceci est proposé pour le prix en

Quelques reflexions sur ce qui se passe en France…

Quelques reflexions sur la France actuelle. Les amis, pour une fois, je ne vais pas parler de graphisme, de com’ (quoique..), de design. Ou bien d’autres sujets qui me passionnent et qui font partie intégrante de mon métier. Je voudrais parler dans ce billet de la France. Pays qui m’a accueilli il y a 20 ans maintenant et qui, sincèrement, m’inquiète. Aujourd’hui, nous sommes le 11 novembre, pour rappel, le jour de la signature de l’Armistice de la Première Guerre mondiale. Conflit, durant lequel la France et tous les autres belligérants ont pris extrêmement cher. Car c’était le premier conflit utilisant les armes dites « modernes ». Depuis 1918, en France, cette journée est l’occasion de commémorer les morts durant cette guerre. Se rappeler de l’histoire et des leçons qu’elle nous apprend. Et aujourd’hui, le président François Hollande se fait huer et conspuer. ALLO, comme dirait Nabilla, le président Français se fait huer. Deux fois, une fois à Paris, une autre à Oyonnax. Je ne me rappelle pas de la dernière fois que ce genre de choses s’est produite. Ni dans les livres d’histoire, ni pendant ma courte mais intense existence jusqu’alors. Il y a comme un problème, vous ne trouvez pas ? Moi, si. Ensuite, la Bretagne. Les Bonnets Rouges, qui au début, du moins, contestaient une taxe de plus. Au début, oui, mais maintenant, ça va bien plus loin. Puisqu’apparemment, les  Bretons s’en prennent à tout ce qui peut représenter l’État. Que ce soient des radars, les glissières de sécurité sur les autoroutes et ainsi de suite. Et, en plus ils commencent à faire des émules, un peu partout en France. A Paris. Même si je pense que les jeunes portant le bonnet rouge sur les Champs ont plus ou moins fait de la récupération symbolique. Vers Bordeaux, dans le sud de la France aussi. En allant en rendez-vus, j’ai vu sur plusieurs balcons à Montmartre des drapeaux Bretons, aussi. Je ne pense pas que Montmartre est devenue une « Petite Bretagne » en l’espace de 2 semaines. Là, si vous voulez, ce qui me pose problème, c’est l’Histoire avec un grand H. Je me rappelle de ce qui se disait de la prise de pouvoir par Hitler en Allemagne en 1933. Ce mec a été démocratiquement élu. Contrairement à ce que pensent nos chères têtes blondes, brunes ou rousses. Il devient « fuhrer » un an après et ce, avec les conséquences que nous connaissons tous. Le tout dans un contexte d’une situation économique désastreuse et d’un « pouvoir d’achat » quasi inexistant. Je ne sais pas pour vous, mais à l’heure actuelle, en France, nous ne sommes pas loin d’un scénario similaire. A vrai dire, j’appréhende énormément la France en 2017. Sans vouloir être alarmiste, ni parano, mais je n’ai vraiment pas l’impression que le peuple de France a confiance dans les politiciens présents. En revanche, il y a de plus en plu de gens qui envisagent de voter FN aux prochaines éléctions. Et ce n’est pas du tout lié au fait que les Français soient devenus fachos. De surcroît, les Français deviennent de plus en plus « politisés ». A l’instar de ce qui se produisait en URSS fin des années 1980, début des années 90. Ce qui n’est pas topissime non plus, bien au contraire. Il existe juste une loi à la con, qui se répète inlassablement dans touts système politique se disant démocratique. Quand le peuple n’a plus confiance dans sa classe politique, l’extrême droite monte. Regardez la Grèce, vous allez comprendre très vite. Un leader charismatique qui promet de faire remonter l’économie, donner du boulot à tout le monde tout en tenant ses promesses sera écouté religieusement et suivi quoi qu’il dise. Et là aussi, cela me pose un sérieux problème. Bref, j’ai bien l’impression que ce n’est que le début. L suite va être bien plus « drôle », si vous me permettez cet écart de language. D’autant plus que la communication du pouvoir en place (on y arrive) n’est pas vraiment claire. Là, précisément, l’heure commence à devenir grave. Et je conçois parfaitement que le gouvernement dise des choses tout à fait vraies. Seul problème, c’est que vu le nombre  de bourdes et de promesses non tenues, plus personne ne prête le moindre crédit au discours tenu. Là, il suffit d’ouvrir un livre d’Histoire pour imaginer la suite des évènements en France, et par extension en Europe. Voilà, les potes.

Les Affiches du Café Arrosé

Affiches du Café Arrosé

Les affiches du Café Arrosé Les affiches sont l’un des outils de communication print les plus communs. Le Café Arrosé, un bar arty Montmartrois, organisait des évènements pour ses clients et les gens de passage. Voici quelques visuels les illustrant. Les affiches sont un moyen efficace de communiquer sur les événements et les activités d’un établissement. Le Café Arrosé, un bar situé dans le quartier de Montmartre à Paris, en est un bon exemple. Ce lieu atypique accueille régulièrement des événements artistiques tels que des expositions, des soirées musicales ou encore des performances théâtrales. Pour promouvoir ces événements, le Café Arrosé utilise des affiches qui attirent l’attention des passants et des habitués du quartier. Les affiches du Café Arrosé sont réalisées avec soin pour refléter l’ambiance artistique et décontractée de l’établissement. Elles présentent des illustrations originales et colorées, qui donnent envie de découvrir les événements à venir. Leur design est pensé pour être en adéquation avec l’esprit du Café Arrosé et pour susciter l’intérêt des personnes qui les croisent. Il est important de souligner que les affiches sont un outil de communication très puissant qui permettent de toucher un public large et diversifié. Elles sont efficaces pour faire connaître un établissement ou un événement à un public local, mais également pour attirer les touristes et les curieux. En utilisant des visuels percutants et des messages accrocheurs, les affiches peuvent inciter les gens à se rendre au Café Arrosé pour découvrir les événements proposés.

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