Bannières Salamander (soldes) pour l’agence Twinin

Bannières Salamander (soldes) Bannières « Salamander » créées pour la campagne d’affichage durant la période de soldes pour l’agence Twinin. Il s’agissait de reprendre la charte existante définie pour ce genre d’évènements et de la décliner sur des bannières animées et Facebook. La bannière « Salamander » est un concept créatif qui a été développé pour la campagne d’affichage de l’agence Twinin. Cette campagne avait pour objectif de promouvoir les soldes de l’hiver. Le design de la bannière reprend la charte graphique déjà existante pour ce genre d’événements, mais avec une touche de modernité ajoutée. La bannière présente une image d’une salamandre stylisée, qui est associée à la saison hivernale. La salamandre est un animal qui est souvent considéré comme étant lié à la chaleur, mais elle est également capable de résister à des températures extrêmement basses. Cette image symbolise donc la capacité à survivre et à prospérer même pendant les périodes les plus difficiles, comme les soldes d’hiver. La bannière a également été adaptée pour une utilisation sur les réseaux sociaux, notamment Facebook. Les animations ajoutées donnent un côté plus dynamique et plus engageant à la bannière. Les couleurs vives et les formes épurées attirent l’attention des utilisateurs et les incitent à cliquer pour en savoir plus sur les soldes de l’hiver. Cette bannière « Salamander » est un concept visuellement attrayant qui est capable de transmettre un message efficacement. Il a été créé pour être utilisé pendant la période des soldes pour une campagne publicitaire de l’agence Twinin, et a été adapté pour une utilisation sur les réseaux sociaux. Il est un exemple réussi de la façon dont une image simple peut être utilisée pour communiquer un message efficacement.
Ange de feu – Illustration 3D

Ange de feu L’ange fut toujours un symbole de puissance. L’illustration peut prendre de différentes formes, même si la plupart des gens pensent dur comme fer que c’est un synonyme de dessin. La 3D peut tout aussi bien remplir ce rôle. Ce visuel est un peu dans la lignée « muscle-flex », ou entrainement, afin de proposer quelque chose d’assez nouveau dans ma gamme de prestations. L’ange est un symbole de puissance et de spiritualité depuis des millénaires. Il est souvent associé à la bonté, à la protection et à la lumière. Dans l’art, les anges sont souvent représentés comme des créatures célestes aux ailes déployées, mais il existe de nombreuses autres interprétations de ce symbole. L’illustration d’un ange peut prendre de nombreuses formes, allant des dessins traditionnels aux images 3D les plus modernes. Les artistes peuvent explorer différents styles et techniques pour donner vie à leur vision de l’ange. Certains choisissent de le représenter de manière classique, tandis que d’autres préfèrent utiliser des styles plus contemporains ou même des techniques de modélisation 3D. La 3D permet de créer des illustrations d’anges qui sont plus vivantes et plus immersives que jamais. Les artistes peuvent utiliser des logiciels de modélisation 3D pour créer des anges qui semblent presque réels, avec des mouvements fluides et des textures détaillées. Cette technique permet également de créer des anges qui sortent de l’ordinaire, comme l’ange en train de s’entraîner, qui propose une vision innovante de ce symbole traditionnel. Avec toutes ces options à disposition, il est facile de voir pourquoi l’ange continue d’inspirer les artistes à travers les siècles. Qu’il s’agisse d’un dessin classique ou d’une illustration moderne en 3D, l’ange reste un symbole puissant et inspirant qui suscite la réflexion et la contemplation. Les anges sont un symbole de puissance, de spiritualité et de bonté, ils continueront à inspirer les artistes pour des années à venir.
Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France

Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France Madame la secrétaire d’État, Madame et Monsieur les ministres, Trouvez-vous normal qu’aujourd’hui en France : Professionnels indépendants, studios de création, collectifs ou agences de communication, futurs diplômés des arts graphiques, nous dénonçons depuis des années les plates-formes reposant sur l’industrialisation du travail gratuit des créatifs. Celles-ci, pourtant, continuent chaque jour de faire l’actualité. Sous couvert d’une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d’une main d’œuvre qu’ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales.Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l’économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d’emplois qu’elles n’en créent. Le principe en est simple, mais pas moins délétère : à chaque client soumettant un projet en quelques consignes, ces plates-formes promettent des dizaines – sinon des centaines – de travaux réalisés sur mesure et livrés par autant d’intervenants. Le donneur d’ordre y fera librement son choix, quitte à exiger un nombre indéfini de retouches et modifications, puis seul le gagnant ou le tiercé de tête sera rémunéré à vil prix, tandis que la société intermédiaire elle, fera sa marge à chaque projet grâce à tous ces travaux gratuits qu’elle aura bel et bien vantés dans son offre. Ceci n’est pas le principe d’un appel d’offre, dans lequel des prestataires sont sélectionnés et rémunérés pour livrer des consultations, et pas des travaux finis. Ni celui d’un concours, respectant une législation particulière ici balayée.Ceci n’est pas un modèle collaboratif, ou crowdsourcing, dans lequel les volontés se rassemblent pour développer bénévolement des projets libres qui profiteront à tous.Ceci n’est pas une prestation créative de qualité, qui implique nécessairement une étroite relation entre le client et l’expert chargé de transmettre ses valeurs, son histoire, son message. Ceci n’est un exemple pour personne. Nous sommes des entrepreneurs. Nous créons nos emplois, et des emplois pour nos collaborateurs. Nous vivons chaque jour avec la concurrence, fût-elle à bas coût. Nous l’avons acceptée et jouons son jeu. Mais ce jeu implique des règles. Attirer des milliers de personnes dans le salariat dissimulé pour s’épargner de les rémunérer décemment ou de payer son dû à l’État n’en fait pas partie. Faire travailler gratuitement les créatifs pour construire une offre commerciale à bon compte ne doit pas être toléré.Quel avenir pour nos professions, si demain chaque projet rémunéré implique d’en avoir réalisé des dizaines d’autres gratuitement ? Combien d’entre nous survivront à cette tendance alors que les budgets sont déjà si difficiles à décrocher ? Devons-nous réellement accepter la concurrence d’une nébuleuse d’entités organisant le travail clandestin à grande échelle, niant toute valeur à la création ? Graphistes, illustrateurs, designers web, UI, UX, motion, directeurs artistiques ou architectes de l’information, nous sommes ouverts à la modernité. Nous en sommes même les étendards : les nouvelles technologies de la communication et l’innovation perpétuelle par l’image sont le support et l’objet de notre expression. Mais toute évolution n’est pas un progrès, et c’est parce que nous sommes le progrès que nous sommes légitimes à dénoncer ceux qui se cachent derrière une modernité de façade pour encourager un retour en arrière majeur des conditions de travail de chacun, qui se vantent dans les médias de résultats impressionnants construits sur le salariat dissimulé, et s’esclaffent sur les réseaux à l’ombre de la passivité des autorités de contrôle. Ceux qui promeuvent la quantité, qui vendent de la création au kilo, au détriment de la qualité dont sont capables les créatifs français. Ceux enfin qui excusent leurs pratiques par le simple fait qu’ils « n’obligent personne », comme si cela suffisait à tout justifier ou à prouver les bienfaits de leur démarche, comme si l’exploitation de la naïveté des moins expérimentés – ou des plus désespérés – n’était pas une réalité permanente dans le monde de la création. Car ne nous y trompons pas, cette tendance au travail non rémunéré n’est pas limitée au secteur de l’image, elle se répand dans tout le tertiaire. Déjà sur les blogs et les communautés, les articles fleurissent décrivant des phénomènes similaires dans les métiers de la production écrite : journalistes, rédacteurs, traducteurs… Pendant que de plus en plus de commerciaux ou d’ingénieurs tombent dans le piège des « mois d’essais » effectués sans contrats ni rémunération. Hier c’est même le secteur du développement qui a vu apparaître ses premiers Hackathon – événements à l’origine collaboratifs et bénévoles – être détournés et exploités commercialement. Le 26 mai 2014, Madame la secrétaire d’État, vous avez déclaré qu’une de ces sociétés avait un “rôle d’exemplarité à jouer. Vous êtes la France qui gagne”… Vous avez choisi d’ériger en exemple de la France qui gagne un modèle qui s’alimente du travail non rémunéré de milliers de citoyens, et ne génère dans son sillon que plus de précarité. Vous comprendrez donc notre indignation. Jusqu’alors, beaucoup d’entre nous pariaient sur la formation et l’information mutuelle des créatifs et de leurs clients. Par des articles, des interventions, des conférences, des ouvrages à vocation professionnelle, nous tentions de donner à tous le sens des bonnes pratiques et l’envie de se battre pour des conditions de travail légales et équilibrées, pour une qualité de production renforcée. Mais ces fragiles initiatives sont peu de choses quand l’État valide au plus haut niveau un système pervers, en fait un exemple pour tous, et voici donc l’objet de notre colère. L’incitation à entreprendre en France ne peut se faire au prix d’une régression sociale et culturelle, au détriment du droit du travail et de dizaines de milliers de professionnels responsables travaillant chaque jour dans un esprit qualitatif. La FrenchTech, dont vous vous faites l’ambassadrice, n’est-elle pas là pour promouvoir l’excellence ? Nous ne levons certes pas des millions auprès des investisseurs, nous ne jouissons pas des faveurs des chaînes
Recrutement de graphistes de nos jours

Recrutement de graphistes : un paradoxe assez troublant. Les amis, souvent dans ma carrière depuis fin 2005 (ça ne nous rajeunit pas, je sais), il m’arrive de passer des entretiens divers et variés. La plupart du temps liés au recrutement soit dans le cadre d’un projet donné (le plus souvent). Soit pour un CDI, une mission en régie et ainsi de suite. Je suis en freelance depuis prés de 10 ans maintenant. J’en ai donc un certain nombre de ce genre d’évènements à mon actif. Et la plupart du temps cela se passe merveilleusement bien. J’ai effectivement eu la chance de croiser dans les 90% des cas des personnes ayant une certaine connaissance des tarifs pratiqués sur le marché, sachant plus ou moins dans quelle direction elles souhaitaient aller. Bref, des pros, pas toujours dans le graphisme, c’est sûr (sinon, elles ne feraient pas appel à mes services). Mais dans leur domaine, c’est plus que certain. Qu’est-ce qu’un bon recruteur? Dans l’idéal, ce serait une personne qui a un besoin de confier une tâche à un professionnel, ayant une certaine connaissance des impératifs que ça comporte. Autrement dit, sachant parler le même language et ayant un minimum de respect pour son interlocuteur. Les recruteurs ou alors les prospects, devenus clients par la suite, que j’ai pu rencontrer, dans les 90% des cas, ont plus ou moins rempli cette condition, si je puis me permettre de la nommer ainsi. En revanche, il reste 10%. Et là, c’est une véritable cour des miracles. Je passe sur les gens qui veulent un site marchand de A à Z en ayant 500€ de budget en tout et pour tout. Les tentatives plus ou moins adroites de faire bosser gratuitement un graphiste en lui faisant miroiter je ne sais quels gains mirobolants aussi. Et puis les organisateurs de soirées qui veulent vous faire de la pub sur leur flyer en échange de la créa gratuite. Toute personne ayant déjà été freelance depuis plus de 6 mois connaît très bien cette chanson-là. Et le sujet a été déjà abordé à de nombreuses reprises par énormément de personnes, surtout depuis mai 2012. Je voudrais m’intéresser dans ce billet au recrutement de graphistes pour des contrats dits « permanents ». CDI, CDD, Intérim, régie, bref, tous les jobs impliquant le travail in situ chez l’employeur. Alors, autant l’intérim et les contrats en régie ne posent a priori aucun souci. Autant un entretien pour un CDI ou un CDD peut se révéler, disons, surprenant. Et au final, amusant, bien qu’on a plus envie de rire jaune qu’autre chose. En théorie, le DRH vous explique ce qu’il attend de vous. Puis aborde les aspects organisationnels et financiers de la chose. Et dans les 90% des cas, c’est de cette manière que cela se passe. Sauf que certains prennent clairement les candidats pour des cons. Alors, un entretien-type que j’appelle « 10% », se passe grosso modo de cette manière. Vous arrivez le plus souvent dans les locaux de la société se situant assez loin de Paris (je suis parisien, mais le principe est le même avec votre ville), dans une zone industrielle. S’il s’agit d’une « agence de communication », n’espérez pas de travailler pour L’Oréal, ni pour Dior. Peut-être pour les pizzas du coin, et encore. Une fois que vous avez trouvé le bon endroit (car les indications sont plus que vagues, quand il y en a) et que vous avez annoncé votre venue à l’interphone, vous êtes reçu par le PDG de ladite agence. Avec son assistant(e) ou pas. Ce monsieur vous présente dans les grandes lignes sa société, et plus précisément « le pôle de communication » qu’il ont ouvert il y a tant de temps et que vous êtes censé intégrer incessamment sous peu. Au cours de sa présentation, vous remarquez que sa boite tourne à 90% autour d’un seul client. Ou peut-être 2 ou 3, mais principalement un, puisque les autres ne donnent plus signe de vie depuis 2-3 ans. Pas très rassurant, tout ça…Car si ce client principal leur dit « merde » pour une raison quelconque, vous êtes au chômage. Le pôle communication, quant à lui, n’est pas vraiment un foudre de guerre non plus. Ses principales missions étant l’exécution des catalogues chartés à mort sans possibilité d’innovation quelconque . Ah oui, il y a le concessionnaire d’en face qui aimerait faire des flyers pour la dernière caisse qu’il vend. Car c’est une telle épave qu’il arrive pas à la fourguer. Charmant, quoi. C’est là que vous vous poser la question sur la raison de votre présence. Vient alors votre tour de parler. Vous vous présentez, vous dites que vous avez 10 ans de métier, que les 10 sont en freelance. Ensuite, vous montrez votre portfolio avec vos réalisations. Et vous racontez qui vous êtes et ce que vous avez fait professionnellement, jusqu’à cet instant. S’en suivent quelques questions-bateau, du genre si vous connaissez bien Photoshop et Dreamweaver (lol), si vous savez faire des découpes Photoshop en <td> (LOL), et si vous savez ce qu’est le language HTML (LOLZ). Vous vous demandez si votre interlocuteur a réellement écouté ce que vous venez de dire. Ou si, au moins, il a pense à lire en diagonale votre CV. Manifestement pas vraiment, puisque la suite est encore plus surprenante / amusante / paradoxale. Le recrutement de graphistes ou de qui que ce soit, d’ailleurs, implique une contrepartie financière, le salaire, en somme. Vous posez la question fatidique, et la, ô surprise ! On vous explique que d’abord, ils vont faire une shortlist à présenter à la direction de leur principal client. Au fait, qui me recrute, vous ou votre client? Si vous êtes sélectionné, vous aurez un test à faire CHEZ VOUS. Une fois que ce test est sélectionné, lui aussi, on parlera salaire. Vous disiez que vous avez 10 ans de métier, dont les 10 en free, vous vous rappelez? Ça voulait aussi dire qu’en 10 ans j’ai rencontré énormément de monde. Des gens bien, des gens un peu moins bien aussi. Des
Trombinoscope de la FFAAA (Fédération Française de l’Aïkido, Aïkibudo et Affinitaires)
Trombinoscope de la Fédération Française de l’Aïkido, Aïkibudo et Affinitaires ( FFAAA ) Le trombinoscope web de la FFAAA a été réalisé sur mandat du président de la Fédération en 2014. Il s’agissait alors de présenter les intervenants de la FFAAA à l’échelle nationale. Pour accéder au site, cliquez ici Le trombinoscope est un outil incontournable pour les organisations qui cherchent à mettre en avant leur personnel ou leurs membres. C’est pourquoi la Fédération Française del’Aïkido, Aïkibudo et Affinitaires (FFAAA) a décidé de créer un trombinoscope web en 2014 pour présenter ses intervenants à l’échelle nationale. La galerie des portraits est un moyen efficace pour les organisations de présenter les membres de leur équipe, de mettre en avant leur expérience et leur expertise. Il permet également aux utilisateurs de trouver rapidement les personnes qu’ils cherchent et de faciliter les échanges entre les différents intervenants. La FFAAA a voulu aller plus loin en créant un trombinoscope en ligne, pour permettre aux utilisateurs de consulter les informations à distance, mais aussi pour faciliter la mise à jour des informations. Le trombinoscope web est donc un outil pratique pour les utilisateurs qui peuvent consulter les informations à tout moment, où qu’ils soient. Le design du trombinoscope de la FFAAA est élégant et intuitif, il permet aux utilisateurs de trouver rapidement les informations qu’ils cherchent, avec des photos et des informations de contact pour chaque intervenant. Il est également très facile à utiliser et à mettre à jour, ce qui en fait un outil pratique pour les administrateurs.
Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants

Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants. Chers amis ! Vous êtes sur le point d’ouvrir une entreprise ou c’est déjà fait depuis peu. C’est votre bébé, vous voulez la voir grandir et devenir une adulte belle et élancée, comme n’importe quel parent. Belle et élancée, fertile, assurant vos jours actuels et votre refaite plus tard. L’éducation d’un enfant signifie n’importe où dans le monde un investissement. C’est comme ça, je ne l’ai pas inventé, c’est la vie. Pour un bébé, pour l’instant, personne n’a encore trouvé le moyen efficace et éthique de modifier ses « données physiques ». En revanche, dans le cas d’une boite, on a un peu plus de chance, puisqu’on peut choisir. Cependant, beaucoup d’entre vous, chers entrepreneurs , choisissent de négliger totalement cet aspect très important de votre bébé d’amour. La plupart du temps, par souci d’économie. Les raisons sont nombreuses et la liste n’est pas exhaustive.Lorsque vous créez une boite, les 3 voire les 4 premières années, vous n’allez pas gagner l’argent. En revanche, vous allez en dépenser pour pouvoir en gagner cette « période d’essai » passée. Ça s’appelle un investissement. Ce que vous allez gagner par la suite, s’appelle le ROI. En anglais Return On Investment, autrement dit le retour sur l’investissement. Investir ne signifie pas nécessairement payer, c’est aussi et surtout du temps et du travail, nous sommes d’accord. Par contre, le retour est proportionnel à ce que vous avez donné. Il n’y a pas de mystère. Donc, l’investissement. Durant les 2-3-4 premières années, le but est de faire connaitre votre bébé. Montrer qu’il est le plus beau, qu’il est génial et ainsi de suite. Autrement dit, le premier poste de cette investissement est la communication. Et ça représente au minimum 60% de votre budget de fonctionnement annuel. Prenons un exemple plus ou moins concret : vous voulez vendre des t-shirts avec des dessins dessus. Mais vous ne savez pas dessiner. En revanche, vous savez que ce genre de concept peut plaire aux jeunes. Et à 20-25€ le t-shirt, ça devrait partir comme des petits pains. En y réfléchissant, vous vous dites que les jeunes sont en permanence sur internet. Donc il ne sert à rien de louer une boutique, payer des salaires, des charges, etc. Un site internet fera l’affaire sans souci.Et là vous vous dites que 300€ pour le site, ça devrait aller. Avec grosso modo autant pour les dessins et l’impression vous vous en sortirez pépère. Et commencerez à gagner de l’argent immédiatement. Oui, mais pas tout à fait. Premièrement, la concurrence sur le net est rude. Tout simplement parce que vous n’êtes pas le seul à avoir eu cette idée lumineuse. Des sites proposant des t-shirts, il y en a une tonne. Voire 2 ou 3.Donc, il faut vous démarquer de la concurrence. Créer quelque chose qui soit pas comme les autres. A commencer par un nom, avec une nom de domaine approprié qu’il faut acheter. Et surtout, un logo impactant. Ben oui, le logo. Ce truc machin chose qui vous suivra partout dans le monde et via lequel vos clients potentiels vont vous reconnaitre, comme c’est le cas avec Nike, Adidas, Lacoste et consorts. Un naming digne de ce nom, c’est à partir de 600€. Et un logo, tourne autour de 2500. Bien évidemment, faits par un professionnel expérimenté, sachant vous guider et vous conseiller dans votre projet, connaissant son métier et VOTRE problématique (autrement dit, vos clients potentiels, la gamme de vos prix, la direction dans laquelle votre projet est susceptible d’aller dans les grandes lignes etc.). Une fois le logo crée et son utilisation définie, vient le site. Dans cet exemple, vous vendez des t-shirts, donc, pour, encore une fois, vous démarquer, votre gamme doit être importante, quelque chose comme 50 produits distincts, voire plus. Un site boutique avec 50 produits se négocie entre 7000 et 10000€. Sauf si vous êtes développeur web vous même auquel cas vous en payerez que le design, quelque chose de l’ordre de 1000-1500€. Mais dans ce dernier cas, à vous les nuits blanches et les mains dans le cambouis. Et last, but ont thé least, les produits. Passons la fabrication et le stock, ici, nous parlons que des motifs de vos t-shirts. En prenant comme hypothèse de travail que vous avez 50 t-shirts avec des dessins différents sur chaque, vous avez un besoin impératif de 50 visuels. Voire légèrement plus, en tenant compte de la couleur du tissu (noir sur du noir ne se voit guère). Où les trouver, sachant que vous même, vous n’êtes pas graphiste, dessinateur et que disons, la seule chose que vous dessinez correctement est la tête à Toto? Là, pareil il faut faire appel à des gens qui savent faire, en leur proposant un deal honnête, pas un truc du genre « pourcentage sur chaque t-shirt vendu ». D’une part, vous serez considéré avec du sérieux de la part des éventuels prestataires, d’autre part, votre marge ne sera que plus importante, et de troisième part, vous n’allez pas vous retrouver avec des étudiants/bras cassés du métier/crèves-la-faim plus ou moins incompétents. A vous de négocier les tarifs, mais à la louche, vous allez vous retrouver avec 5000-10000€ en plus à dépenser. Pour résumer l’investissement financier de départ, 600+2500+7000+5000=15100€ minimum. Et nous n’avons pas parlé du référencement de votre boutique (8000€ par an) ni du stockage de vos produits (à la louche 1200 par an minimum), de la fabrication (mettons vous pensez à faire 100 t-shirts de chaque motif avec une couleur et une seule taille, ça nous fait 50X100, donc 5000 t-shirts en tout, la fabrication coûte en gros 7€ chaque, ce sera 35000€). Tout ça pour dire qu’avant de vous lancer, prenez le temps de réfléchir et regarder les options qui s’offrent à vous en procédant au « démontages sceptique » de votre idée du départ. Autrement dit voyez si c’est faisable ou pas, et si oui, combien ça coûte. Prenez conseil auprès des professionnels, demandez des devis, comparez non seulement le prix mais aussi ceci est proposé pour le prix en
Quelques reflexions sur ce qui se passe en France…

Quelques reflexions sur la France actuelle. Les amis, pour une fois, je ne vais pas parler de graphisme, de com’ (quoique..), de design. Ou bien d’autres sujets qui me passionnent et qui font partie intégrante de mon métier. Je voudrais parler dans ce billet de la France. Pays qui m’a accueilli il y a 20 ans maintenant et qui, sincèrement, m’inquiète. Aujourd’hui, nous sommes le 11 novembre, pour rappel, le jour de la signature de l’Armistice de la Première Guerre mondiale. Conflit, durant lequel la France et tous les autres belligérants ont pris extrêmement cher. Car c’était le premier conflit utilisant les armes dites « modernes ». Depuis 1918, en France, cette journée est l’occasion de commémorer les morts durant cette guerre. Se rappeler de l’histoire et des leçons qu’elle nous apprend. Et aujourd’hui, le président François Hollande se fait huer et conspuer. ALLO, comme dirait Nabilla, le président Français se fait huer. Deux fois, une fois à Paris, une autre à Oyonnax. Je ne me rappelle pas de la dernière fois que ce genre de choses s’est produite. Ni dans les livres d’histoire, ni pendant ma courte mais intense existence jusqu’alors. Il y a comme un problème, vous ne trouvez pas ? Moi, si. Ensuite, la Bretagne. Les Bonnets Rouges, qui au début, du moins, contestaient une taxe de plus. Au début, oui, mais maintenant, ça va bien plus loin. Puisqu’apparemment, les Bretons s’en prennent à tout ce qui peut représenter l’État. Que ce soient des radars, les glissières de sécurité sur les autoroutes et ainsi de suite. Et, en plus ils commencent à faire des émules, un peu partout en France. A Paris. Même si je pense que les jeunes portant le bonnet rouge sur les Champs ont plus ou moins fait de la récupération symbolique. Vers Bordeaux, dans le sud de la France aussi. En allant en rendez-vus, j’ai vu sur plusieurs balcons à Montmartre des drapeaux Bretons, aussi. Je ne pense pas que Montmartre est devenue une « Petite Bretagne » en l’espace de 2 semaines. Là, si vous voulez, ce qui me pose problème, c’est l’Histoire avec un grand H. Je me rappelle de ce qui se disait de la prise de pouvoir par Hitler en Allemagne en 1933. Ce mec a été démocratiquement élu. Contrairement à ce que pensent nos chères têtes blondes, brunes ou rousses. Il devient « fuhrer » un an après et ce, avec les conséquences que nous connaissons tous. Le tout dans un contexte d’une situation économique désastreuse et d’un « pouvoir d’achat » quasi inexistant. Je ne sais pas pour vous, mais à l’heure actuelle, en France, nous ne sommes pas loin d’un scénario similaire. A vrai dire, j’appréhende énormément la France en 2017. Sans vouloir être alarmiste, ni parano, mais je n’ai vraiment pas l’impression que le peuple de France a confiance dans les politiciens présents. En revanche, il y a de plus en plu de gens qui envisagent de voter FN aux prochaines éléctions. Et ce n’est pas du tout lié au fait que les Français soient devenus fachos. De surcroît, les Français deviennent de plus en plus « politisés ». A l’instar de ce qui se produisait en URSS fin des années 1980, début des années 90. Ce qui n’est pas topissime non plus, bien au contraire. Il existe juste une loi à la con, qui se répète inlassablement dans touts système politique se disant démocratique. Quand le peuple n’a plus confiance dans sa classe politique, l’extrême droite monte. Regardez la Grèce, vous allez comprendre très vite. Un leader charismatique qui promet de faire remonter l’économie, donner du boulot à tout le monde tout en tenant ses promesses sera écouté religieusement et suivi quoi qu’il dise. Et là aussi, cela me pose un sérieux problème. Bref, j’ai bien l’impression que ce n’est que le début. L suite va être bien plus « drôle », si vous me permettez cet écart de language. D’autant plus que la communication du pouvoir en place (on y arrive) n’est pas vraiment claire. Là, précisément, l’heure commence à devenir grave. Et je conçois parfaitement que le gouvernement dise des choses tout à fait vraies. Seul problème, c’est que vu le nombre de bourdes et de promesses non tenues, plus personne ne prête le moindre crédit au discours tenu. Là, il suffit d’ouvrir un livre d’Histoire pour imaginer la suite des évènements en France, et par extension en Europe. Voilà, les potes.
Ouaf and Maw fait peau neuve !

Ouaf and Maw change de visage. Enfin, du moins en partie, puisque vos 3 potes de Ouaf and Maw sont toujours présents visuellement et dans l’esprit du site. J’ai décidé de changer l’aspect du site, dans un premier temps, par souci de simplicité. Car en 3 ans d’existence de l’ancien, force était de constater que le côté « Quest » peut être intéressant, mais pour montrer rapidement des choses au client potentiel, ce n’est pas l’idéal. Le côté cartoon plaisait et plaît énormément, j’ai donc décidé de le garder. Dans un second temps, Flash n’est plus un outil de création de sites. Depuis la version CS5, il est devenu un outil d’animation 2D, cartoon ou pas. En plus ce n’est plus une technologie cross-platform, dans la mesure où certains appareils comme les produits mobiles Apple ne le lisent pas tout simplement. Donc, exit l’ancienne version aussi. Puis dans un troisième temps, le responsive design est devenu la norme en 2012. Donc il est plus que temps de se mettre à la page. Bien évidemment, vous pouvez suivre les actualités du chien pédant et du chat psychopathe ainsi que du corbeau shooté via Facebook, Google+, Twitter, Tumblr, Pinterest et sans doute d’autres qui vont venir.
L’Oréal – Carte de Voeux de fin d’année 2009

L’Oréal : Carte de Voeux de fin d’année 2009 (créée pour RGB Editions) L’Oréal fêtait son siècle d’existence. A cette occasion il a été décidé de créer une grande campagne de diffusion allant de la création d’un livre dédié, jusqu’à la création de clips vidéo. Cette carte de voeux de fin d’année électronique en faisait partie. La carte de voeux de fin d’année pour L’Oréal était un projet ambitieux qui visait à célébrer le centenaire de la marque. Conçue pour RGB Editions, ce bristol électronique était un élément clé de la campagne de communication de fin d’année de L’Oréal. Elle a été conçue pour être en ligne avec l’image de marque de L’Oréal, tout en étant moderne et captivante. Sa création est un défi pour toute entreprise, car il s’agit de trouver un juste équilibre entre l’aspect commercial et l’aspect personnel. L’Oréal a réussi à relever ce défi grâce à une combinaison de design élégant, de messages inspirants et de contenu exclusif. La carte de voeux de fin d’année de L’Oréal était également interactive, permettant aux destinataires de découvrir des contenus exclusifs, tels que des vidéos ou des images, en cliquant sur des liens intégrés. Cette fonctionnalité ajoutait une dimension supplémentaire à la e-card de voeux, la rendant plus engageante et plus interactive pour les destinataires. Enfin, la carte de voeux de fin d’année de L’Oréal a été un véritable succès auprès de sa clientèle, car elle reflétait parfaitement l’esprit de la marque tout en étant moderne et captivante. Elle a réussi à transmettre les vœux de L’Oréal de manière originale et mémorable.
RGB Editions

RGB Editions. RGB Editions est une agence traitant principalement de l’édition print. Néanmoins, en 2009, le besoin de passer au digital s’est fait sentir. Voici les quelques projets qui ont été faits pour l’agence à ce moment-là. RGB Editions est une agence d’édition spécialisée dans l’impression de livres, de magazines et de publications diverses. Cependant, en 2009, l’évolution technologique a conduit l’entreprise à élargir son champ d’activité en se tournant vers le digital. Afin de répondre à cette nouvelle demande, RGB Editions a entrepris plusieurs projets pour se développer dans le domaine du numérique. Tout d’abord, l’agence a mis en place une plateforme de vente en ligne pour permettre à ses clients de commander des publications en version numérique. Cette plateforme a été conçue pour être simple d’utilisation et sécurisée, afin de garantir une expérience d’achat agréable pour les utilisateurs. Carte de voeux de fin d’année de RGB Editions C’est une agence d’édition qui s’est adaptée à l’évolution technologique en se développant dans le domaine du numérique. Grâce à ses projets innovants, l’agence a su répondre aux besoins de ses clients en leur offrant des solutions adaptées à la lecture numérique. RGB est une agence d’édition qui s’est adaptée aux évolutions technologiques en se développant dans le domaine du numérique. Elle a mis en place une plateforme de vente en ligne, un service de conversion de livres papier en livres numériques, et une application mobile pour permettre à ses clients d’accéder à ses publications numériques. L’agence est aujourd’hui une référence dans le domaine de l’édition numérique et continue de proposer des solutions innovantes pour ses clients.