Prestations et tarifs

Prestations et tarifs correspondants Régie : Forfait Heure 50€/H Forfait Jour (7H) 250€/Jr Forfait Semaine (5 jours ouvrés) 1200€/Sem. Forfait Heure Nuit (de 20H à 9H) 500€/H Tarifs télétravail : Communication visuelle : Identité visuelle (Logotype + carte de visite + Carte de correspondance + Tête de lettre + Signature mail) 2000€ Logo seul 1500€ Carte de visite seule (Logo fourni par le client) 450€ Carte de correspondance seule (Logo fourni par le client) 300€ Tête de lettre/Suite de lettre seule (Logo fourni par le client) 300€ Signature mail seule (Logo fourni par le client) 200€ Affiche 900€ Flyer 450€ Dépliant 900€ PLV 1100€ Plaquette commerciale 1100€ Chemise A4 700€ Edition : Exécution – Forfait à la page 35€/page Direction artistique (hors exécution) 1000€ Catalogue/Brochure/Menu restaurant (Direction artistique + exécution 8 pages // page supplémentaire : 35€) 700€ Catalogue/Brochure/Menu restaurant (Direction artistique + exécution 16 pages // page supplémentaire : 35€) 1200€ Catalogue/Brochure/Menu restaurant (Direction artistique + exécution 32 pages // page supplémentaire : 35€) 2500€ Packaging Etiquettes seules (par contenant) 600€ Contenant / Flacon seul 2200€ Pack seul 2000€ Solution packaging complète (par contenant) 4000€ Web Site Vitrine (design sur-mesure, développement et mise en ligne incluse : moteur CMS, SEO friendly, création / gestion réseaux sociaux majeurs) 2000€ Site Communautaire (design sur-mesure, développement et mise en ligne incluse : moteur CMS, SEO friendly, création / gestion réseaux sociaux majeurs, gestion des images et vidéos, gestion des utilisateurs) 6000€ Site Marchand (design sur-mesure, développement et mise en ligne incluse : moteur CMS, SEO friendly, création / gestion réseaux sociaux majeurs, gestion des images et vidéos, gestion des utilisateurs / gestion des produits) 8000€ Relifting design Site Vitrine 1000€ Relifting design Site Communautaire 1200€ Relifting design Site Marchand 1500€ Relifting moteur CMS Site Vitrine 500€ Relifting moteur CMS Site Communautaire 900€ Relifting moteur CMS Site Marchand 1200€ Relifting site complet Vitrine (design + moteur) 1800€ Relifting site complet Communautaire (design + moteur) 5000€ Relifting site complet Marchand (design + moteur) 7500€ Bannière Flash+GIF 450€ Intégration design dans le moteur CMS Site Vitrine 500€ Intégration design dans le moteur CMS Site Communautaire 800€ Intégration design dans le moteur CMS Site Marchand 950€ Maintenance Site web Formule Ready (mise à jour 1 fois par mois, images et contenu textuel fourni par le client, Community management) 80€/mois Maintenance Site web Formule Steady ( mise à jour 2 fois par mois, images et contenu textuel fourni par le client, veille technique 5 jours ouvrés, Community Management) 200€/mois Maintenance Site web Formule Go ( mise à jour 4 fois par mois, images et contenu textuel fourni par le client, veille technique 24H, Community Management) 750€/mois 3D : Stand / Architecture intérieure (modélisation uniquement) 700€ Architecture extérieure (modélisation uniquement) 2000€ Stand / Architecture intérieure (modélisation + rendu sans animaton) 1800€ Architecture extérieure (modélisation + rendu sans animaton) 5000€ Personnage 3D (modélisation + rigging) 4000€ Personnage 3D (modélisation + rigging + rendu sans animaton) 4500€ Motion : Montage vidéo (storyboard fourni par le client) sur devis Spot TV / Spot publicitaire (storyboard fourni par le client) sur devis Animation cartoon 2D (storyboard fourni par le client) sur devis Animation personnage 2D (storyboard fourni par le client) sur devis Animation personnage 3D (storyboard fourni par le client) sur devis Animation scène 3D (storyboard fourni par le client) sur devis Storyboard sur devis Illustration : Couverture de livre 1500€ + 5% des royalties sur la diffusion Illustration intérieure livre / Illustration magazine 750€ + 5% des royalties sur la diffusion Personnage 2D 1900€ Infographie 1500€ Illustration textile (T-shirt ou autre) 450€ + 5% des royalties sur la diffusion Photographie : Reportage photo (évènements etc..) 80€/H + déplacement pris en charge par le client + 5% des royalties sur la diffusion Packshot 80€/H Photos de lieu 80€/H + déplacement pris en charge par le client Conditions générales de vente : #1. Le début de la prestation commence obligatoirement dés réception du présent devis signé avec mention “Bon pour accord” et accompagné d’un chèque d’acompte représentant 50% du budget global. #2. Aucune maquette, proposition graphique, test ou toute autre prestation ne sera fournie avant la signature du présent devis et de l’encaissement de l’acompte. #3. Chaque étape du projet comprend 3 présentations sauf précision contraire du devis. Tout dépassement pour quel que motif que ce soit implique un nouveau devis. #4. Tout ajout de prestation post-signature du présent devis implique une nouvelle estimation du tarif. #5. Le solde du budget global est dû à la livraison du projet accompagné des sources et de la facture globale. Tout retard de paiement après la livraison implique des pénalités de retard de 1% par jour (ouvrable ou non) #6. Serguei Tchepik Design décline toute responsabilité de retard dans l’exécution du projet dû aux catastrophes naturelles, changements climatiques, coupures d’éléctricité, coupures de téléphone, coupures d’internet, pannes informatiques, guerres, changements politiques et/ou religieux. #7. Serguei Tchepik Design décline également toute responsabilité de retard dans l’exécution du projet dû au manque d’informations fournies par le client, ajouts de prestations souhaitées par le client, la non-fourniture d’éléments par le client, nécessaires à l’exécution du projet. #8. Serguei Tchepik Design décline toute responsabilité quant à l’apparition, l’augmentation ou la diminution du chiffre d’affaires du client sous quelque forme que ce soit. Dans le cas d’un doute, le plus simple est de poser la question. Alors n’hésitez surtout pas, la page Contact est faite pour ça.
Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France

Non à l’exploitation du #travailgratuit comme modèle de réussite en France Madame la secrétaire d’État, Madame et Monsieur les ministres, Trouvez-vous normal qu’aujourd’hui en France : Professionnels indépendants, studios de création, collectifs ou agences de communication, futurs diplômés des arts graphiques, nous dénonçons depuis des années les plates-formes reposant sur l’industrialisation du travail gratuit des créatifs. Celles-ci, pourtant, continuent chaque jour de faire l’actualité. Sous couvert d’une dynamique start-up qui a les faveurs de la presse, l’ensemble des sociétés fonctionnant sur le principe du perverted crowdsourcing construisent leur offre commerciale sur les épaules d’une main d’œuvre qu’ils ne payent pas. Professionnels mais aussi particuliers par milliers y travaillent sans contrats ni statuts au mépris des plus élémentaires obligations légales.Dévoyant à leur seul avantage les fondations de l’économie collaborative, elles mettent en péril une part importante du tissu économique représenté par les indépendants et les petites structures, détruisant bien plus d’emplois qu’elles n’en créent. Le principe en est simple, mais pas moins délétère : à chaque client soumettant un projet en quelques consignes, ces plates-formes promettent des dizaines – sinon des centaines – de travaux réalisés sur mesure et livrés par autant d’intervenants. Le donneur d’ordre y fera librement son choix, quitte à exiger un nombre indéfini de retouches et modifications, puis seul le gagnant ou le tiercé de tête sera rémunéré à vil prix, tandis que la société intermédiaire elle, fera sa marge à chaque projet grâce à tous ces travaux gratuits qu’elle aura bel et bien vantés dans son offre. Ceci n’est pas le principe d’un appel d’offre, dans lequel des prestataires sont sélectionnés et rémunérés pour livrer des consultations, et pas des travaux finis. Ni celui d’un concours, respectant une législation particulière ici balayée.Ceci n’est pas un modèle collaboratif, ou crowdsourcing, dans lequel les volontés se rassemblent pour développer bénévolement des projets libres qui profiteront à tous.Ceci n’est pas une prestation créative de qualité, qui implique nécessairement une étroite relation entre le client et l’expert chargé de transmettre ses valeurs, son histoire, son message. Ceci n’est un exemple pour personne. Nous sommes des entrepreneurs. Nous créons nos emplois, et des emplois pour nos collaborateurs. Nous vivons chaque jour avec la concurrence, fût-elle à bas coût. Nous l’avons acceptée et jouons son jeu. Mais ce jeu implique des règles. Attirer des milliers de personnes dans le salariat dissimulé pour s’épargner de les rémunérer décemment ou de payer son dû à l’État n’en fait pas partie. Faire travailler gratuitement les créatifs pour construire une offre commerciale à bon compte ne doit pas être toléré.Quel avenir pour nos professions, si demain chaque projet rémunéré implique d’en avoir réalisé des dizaines d’autres gratuitement ? Combien d’entre nous survivront à cette tendance alors que les budgets sont déjà si difficiles à décrocher ? Devons-nous réellement accepter la concurrence d’une nébuleuse d’entités organisant le travail clandestin à grande échelle, niant toute valeur à la création ? Graphistes, illustrateurs, designers web, UI, UX, motion, directeurs artistiques ou architectes de l’information, nous sommes ouverts à la modernité. Nous en sommes même les étendards : les nouvelles technologies de la communication et l’innovation perpétuelle par l’image sont le support et l’objet de notre expression. Mais toute évolution n’est pas un progrès, et c’est parce que nous sommes le progrès que nous sommes légitimes à dénoncer ceux qui se cachent derrière une modernité de façade pour encourager un retour en arrière majeur des conditions de travail de chacun, qui se vantent dans les médias de résultats impressionnants construits sur le salariat dissimulé, et s’esclaffent sur les réseaux à l’ombre de la passivité des autorités de contrôle. Ceux qui promeuvent la quantité, qui vendent de la création au kilo, au détriment de la qualité dont sont capables les créatifs français. Ceux enfin qui excusent leurs pratiques par le simple fait qu’ils « n’obligent personne », comme si cela suffisait à tout justifier ou à prouver les bienfaits de leur démarche, comme si l’exploitation de la naïveté des moins expérimentés – ou des plus désespérés – n’était pas une réalité permanente dans le monde de la création. Car ne nous y trompons pas, cette tendance au travail non rémunéré n’est pas limitée au secteur de l’image, elle se répand dans tout le tertiaire. Déjà sur les blogs et les communautés, les articles fleurissent décrivant des phénomènes similaires dans les métiers de la production écrite : journalistes, rédacteurs, traducteurs… Pendant que de plus en plus de commerciaux ou d’ingénieurs tombent dans le piège des « mois d’essais » effectués sans contrats ni rémunération. Hier c’est même le secteur du développement qui a vu apparaître ses premiers Hackathon – événements à l’origine collaboratifs et bénévoles – être détournés et exploités commercialement. Le 26 mai 2014, Madame la secrétaire d’État, vous avez déclaré qu’une de ces sociétés avait un “rôle d’exemplarité à jouer. Vous êtes la France qui gagne”… Vous avez choisi d’ériger en exemple de la France qui gagne un modèle qui s’alimente du travail non rémunéré de milliers de citoyens, et ne génère dans son sillon que plus de précarité. Vous comprendrez donc notre indignation. Jusqu’alors, beaucoup d’entre nous pariaient sur la formation et l’information mutuelle des créatifs et de leurs clients. Par des articles, des interventions, des conférences, des ouvrages à vocation professionnelle, nous tentions de donner à tous le sens des bonnes pratiques et l’envie de se battre pour des conditions de travail légales et équilibrées, pour une qualité de production renforcée. Mais ces fragiles initiatives sont peu de choses quand l’État valide au plus haut niveau un système pervers, en fait un exemple pour tous, et voici donc l’objet de notre colère. L’incitation à entreprendre en France ne peut se faire au prix d’une régression sociale et culturelle, au détriment du droit du travail et de dizaines de milliers de professionnels responsables travaillant chaque jour dans un esprit qualitatif. La FrenchTech, dont vous vous faites l’ambassadrice, n’est-elle pas là pour promouvoir l’excellence ? Nous ne levons certes pas des millions auprès des investisseurs, nous ne jouissons pas des faveurs des chaînes
Recrutement de graphistes de nos jours

Recrutement de graphistes : un paradoxe assez troublant. Les amis, souvent dans ma carrière depuis fin 2005 (ça ne nous rajeunit pas, je sais), il m’arrive de passer des entretiens divers et variés. La plupart du temps liés au recrutement soit dans le cadre d’un projet donné (le plus souvent). Soit pour un CDI, une mission en régie et ainsi de suite. Je suis en freelance depuis prés de 10 ans maintenant. J’en ai donc un certain nombre de ce genre d’évènements à mon actif. Et la plupart du temps cela se passe merveilleusement bien. J’ai effectivement eu la chance de croiser dans les 90% des cas des personnes ayant une certaine connaissance des tarifs pratiqués sur le marché, sachant plus ou moins dans quelle direction elles souhaitaient aller. Bref, des pros, pas toujours dans le graphisme, c’est sûr (sinon, elles ne feraient pas appel à mes services). Mais dans leur domaine, c’est plus que certain. Qu’est-ce qu’un bon recruteur? Dans l’idéal, ce serait une personne qui a un besoin de confier une tâche à un professionnel, ayant une certaine connaissance des impératifs que ça comporte. Autrement dit, sachant parler le même language et ayant un minimum de respect pour son interlocuteur. Les recruteurs ou alors les prospects, devenus clients par la suite, que j’ai pu rencontrer, dans les 90% des cas, ont plus ou moins rempli cette condition, si je puis me permettre de la nommer ainsi. En revanche, il reste 10%. Et là, c’est une véritable cour des miracles. Je passe sur les gens qui veulent un site marchand de A à Z en ayant 500€ de budget en tout et pour tout. Les tentatives plus ou moins adroites de faire bosser gratuitement un graphiste en lui faisant miroiter je ne sais quels gains mirobolants aussi. Et puis les organisateurs de soirées qui veulent vous faire de la pub sur leur flyer en échange de la créa gratuite. Toute personne ayant déjà été freelance depuis plus de 6 mois connaît très bien cette chanson-là. Et le sujet a été déjà abordé à de nombreuses reprises par énormément de personnes, surtout depuis mai 2012. Je voudrais m’intéresser dans ce billet au recrutement de graphistes pour des contrats dits « permanents ». CDI, CDD, Intérim, régie, bref, tous les jobs impliquant le travail in situ chez l’employeur. Alors, autant l’intérim et les contrats en régie ne posent a priori aucun souci. Autant un entretien pour un CDI ou un CDD peut se révéler, disons, surprenant. Et au final, amusant, bien qu’on a plus envie de rire jaune qu’autre chose. En théorie, le DRH vous explique ce qu’il attend de vous. Puis aborde les aspects organisationnels et financiers de la chose. Et dans les 90% des cas, c’est de cette manière que cela se passe. Sauf que certains prennent clairement les candidats pour des cons. Alors, un entretien-type que j’appelle « 10% », se passe grosso modo de cette manière. Vous arrivez le plus souvent dans les locaux de la société se situant assez loin de Paris (je suis parisien, mais le principe est le même avec votre ville), dans une zone industrielle. S’il s’agit d’une « agence de communication », n’espérez pas de travailler pour L’Oréal, ni pour Dior. Peut-être pour les pizzas du coin, et encore. Une fois que vous avez trouvé le bon endroit (car les indications sont plus que vagues, quand il y en a) et que vous avez annoncé votre venue à l’interphone, vous êtes reçu par le PDG de ladite agence. Avec son assistant(e) ou pas. Ce monsieur vous présente dans les grandes lignes sa société, et plus précisément « le pôle de communication » qu’il ont ouvert il y a tant de temps et que vous êtes censé intégrer incessamment sous peu. Au cours de sa présentation, vous remarquez que sa boite tourne à 90% autour d’un seul client. Ou peut-être 2 ou 3, mais principalement un, puisque les autres ne donnent plus signe de vie depuis 2-3 ans. Pas très rassurant, tout ça…Car si ce client principal leur dit « merde » pour une raison quelconque, vous êtes au chômage. Le pôle communication, quant à lui, n’est pas vraiment un foudre de guerre non plus. Ses principales missions étant l’exécution des catalogues chartés à mort sans possibilité d’innovation quelconque . Ah oui, il y a le concessionnaire d’en face qui aimerait faire des flyers pour la dernière caisse qu’il vend. Car c’est une telle épave qu’il arrive pas à la fourguer. Charmant, quoi. C’est là que vous vous poser la question sur la raison de votre présence. Vient alors votre tour de parler. Vous vous présentez, vous dites que vous avez 10 ans de métier, que les 10 sont en freelance. Ensuite, vous montrez votre portfolio avec vos réalisations. Et vous racontez qui vous êtes et ce que vous avez fait professionnellement, jusqu’à cet instant. S’en suivent quelques questions-bateau, du genre si vous connaissez bien Photoshop et Dreamweaver (lol), si vous savez faire des découpes Photoshop en <td> (LOL), et si vous savez ce qu’est le language HTML (LOLZ). Vous vous demandez si votre interlocuteur a réellement écouté ce que vous venez de dire. Ou si, au moins, il a pense à lire en diagonale votre CV. Manifestement pas vraiment, puisque la suite est encore plus surprenante / amusante / paradoxale. Le recrutement de graphistes ou de qui que ce soit, d’ailleurs, implique une contrepartie financière, le salaire, en somme. Vous posez la question fatidique, et la, ô surprise ! On vous explique que d’abord, ils vont faire une shortlist à présenter à la direction de leur principal client. Au fait, qui me recrute, vous ou votre client? Si vous êtes sélectionné, vous aurez un test à faire CHEZ VOUS. Une fois que ce test est sélectionné, lui aussi, on parlera salaire. Vous disiez que vous avez 10 ans de métier, dont les 10 en free, vous vous rappelez? Ça voulait aussi dire qu’en 10 ans j’ai rencontré énormément de monde. Des gens bien, des gens un peu moins bien aussi. Des
Cartes postales de Menrags.com

Les cartes postales de Menrags.com Lorsqu’on gère un site e-commerce, il est erroné de croire que la communication dudit site doit se limiter au net. Il s’avère que les visuels imprimés, comme les cartes postales, ont eux aussi, leur rôle à jouer. Les cartes postales sont souvent considérées comme un outil de communication désuet, mais en réalité, elles peuvent être un moyen efficace de promouvoir un site e-commerce comme Menrags.com. Ces petits morceaux de papier imprimé peuvent être utilisés pour tout, des promotions spéciales aux annonces de nouveaux produits. Elles peuvent également être utilisées pour renforcer la marque en communiquant l’identité visuelle de l’entreprise. En utilisant ces bristols de manière stratégique, les propriétaires de sites e-commerce peuvent augmenter leur visibilité et inciter les clients à visiter leur site. Il est donc important de considérer les cartes postales comme un outil de communication supplémentaire pour booster le succès d’un site e-commerce. En utilisant des images de qualité et un design soigné, les cartes postales peuvent véhiculer un message fort et immédiatement reconnaissable. Elles peuvent être distribuées lors d’événements ou envoyées directement aux clients pour les remercier de leur soutien. En outre, les cartes peuvent être utilisées pour créer un lien plus personnel avec les clients en leur permettant d’exprimer leur satisfaction ou leur insatisfaction. Les clients peuvent également être invités à partager leur propre expérience en utilisant les cartons postaux pour laisser des commentaires. Il est important de noter que les cartes postales ne remplacent pas les autres canaux de communication, mais plutôt complètent l’ensemble de la stratégie marketing. Utilisées de manière judicieuse, elles peuvent être un outil efficace pour augmenter la visibilité de Menrags.com et renforcer les liens avec les clients.
Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants

Lettre ouverte aux entrepreneurs débutants. Chers amis ! Vous êtes sur le point d’ouvrir une entreprise ou c’est déjà fait depuis peu. C’est votre bébé, vous voulez la voir grandir et devenir une adulte belle et élancée, comme n’importe quel parent. Belle et élancée, fertile, assurant vos jours actuels et votre refaite plus tard. L’éducation d’un enfant signifie n’importe où dans le monde un investissement. C’est comme ça, je ne l’ai pas inventé, c’est la vie. Pour un bébé, pour l’instant, personne n’a encore trouvé le moyen efficace et éthique de modifier ses « données physiques ». En revanche, dans le cas d’une boite, on a un peu plus de chance, puisqu’on peut choisir. Cependant, beaucoup d’entre vous, chers entrepreneurs , choisissent de négliger totalement cet aspect très important de votre bébé d’amour. La plupart du temps, par souci d’économie. Les raisons sont nombreuses et la liste n’est pas exhaustive.Lorsque vous créez une boite, les 3 voire les 4 premières années, vous n’allez pas gagner l’argent. En revanche, vous allez en dépenser pour pouvoir en gagner cette « période d’essai » passée. Ça s’appelle un investissement. Ce que vous allez gagner par la suite, s’appelle le ROI. En anglais Return On Investment, autrement dit le retour sur l’investissement. Investir ne signifie pas nécessairement payer, c’est aussi et surtout du temps et du travail, nous sommes d’accord. Par contre, le retour est proportionnel à ce que vous avez donné. Il n’y a pas de mystère. Donc, l’investissement. Durant les 2-3-4 premières années, le but est de faire connaitre votre bébé. Montrer qu’il est le plus beau, qu’il est génial et ainsi de suite. Autrement dit, le premier poste de cette investissement est la communication. Et ça représente au minimum 60% de votre budget de fonctionnement annuel. Prenons un exemple plus ou moins concret : vous voulez vendre des t-shirts avec des dessins dessus. Mais vous ne savez pas dessiner. En revanche, vous savez que ce genre de concept peut plaire aux jeunes. Et à 20-25€ le t-shirt, ça devrait partir comme des petits pains. En y réfléchissant, vous vous dites que les jeunes sont en permanence sur internet. Donc il ne sert à rien de louer une boutique, payer des salaires, des charges, etc. Un site internet fera l’affaire sans souci.Et là vous vous dites que 300€ pour le site, ça devrait aller. Avec grosso modo autant pour les dessins et l’impression vous vous en sortirez pépère. Et commencerez à gagner de l’argent immédiatement. Oui, mais pas tout à fait. Premièrement, la concurrence sur le net est rude. Tout simplement parce que vous n’êtes pas le seul à avoir eu cette idée lumineuse. Des sites proposant des t-shirts, il y en a une tonne. Voire 2 ou 3.Donc, il faut vous démarquer de la concurrence. Créer quelque chose qui soit pas comme les autres. A commencer par un nom, avec une nom de domaine approprié qu’il faut acheter. Et surtout, un logo impactant. Ben oui, le logo. Ce truc machin chose qui vous suivra partout dans le monde et via lequel vos clients potentiels vont vous reconnaitre, comme c’est le cas avec Nike, Adidas, Lacoste et consorts. Un naming digne de ce nom, c’est à partir de 600€. Et un logo, tourne autour de 2500. Bien évidemment, faits par un professionnel expérimenté, sachant vous guider et vous conseiller dans votre projet, connaissant son métier et VOTRE problématique (autrement dit, vos clients potentiels, la gamme de vos prix, la direction dans laquelle votre projet est susceptible d’aller dans les grandes lignes etc.). Une fois le logo crée et son utilisation définie, vient le site. Dans cet exemple, vous vendez des t-shirts, donc, pour, encore une fois, vous démarquer, votre gamme doit être importante, quelque chose comme 50 produits distincts, voire plus. Un site boutique avec 50 produits se négocie entre 7000 et 10000€. Sauf si vous êtes développeur web vous même auquel cas vous en payerez que le design, quelque chose de l’ordre de 1000-1500€. Mais dans ce dernier cas, à vous les nuits blanches et les mains dans le cambouis. Et last, but ont thé least, les produits. Passons la fabrication et le stock, ici, nous parlons que des motifs de vos t-shirts. En prenant comme hypothèse de travail que vous avez 50 t-shirts avec des dessins différents sur chaque, vous avez un besoin impératif de 50 visuels. Voire légèrement plus, en tenant compte de la couleur du tissu (noir sur du noir ne se voit guère). Où les trouver, sachant que vous même, vous n’êtes pas graphiste, dessinateur et que disons, la seule chose que vous dessinez correctement est la tête à Toto? Là, pareil il faut faire appel à des gens qui savent faire, en leur proposant un deal honnête, pas un truc du genre « pourcentage sur chaque t-shirt vendu ». D’une part, vous serez considéré avec du sérieux de la part des éventuels prestataires, d’autre part, votre marge ne sera que plus importante, et de troisième part, vous n’allez pas vous retrouver avec des étudiants/bras cassés du métier/crèves-la-faim plus ou moins incompétents. A vous de négocier les tarifs, mais à la louche, vous allez vous retrouver avec 5000-10000€ en plus à dépenser. Pour résumer l’investissement financier de départ, 600+2500+7000+5000=15100€ minimum. Et nous n’avons pas parlé du référencement de votre boutique (8000€ par an) ni du stockage de vos produits (à la louche 1200 par an minimum), de la fabrication (mettons vous pensez à faire 100 t-shirts de chaque motif avec une couleur et une seule taille, ça nous fait 50X100, donc 5000 t-shirts en tout, la fabrication coûte en gros 7€ chaque, ce sera 35000€). Tout ça pour dire qu’avant de vous lancer, prenez le temps de réfléchir et regarder les options qui s’offrent à vous en procédant au « démontages sceptique » de votre idée du départ. Autrement dit voyez si c’est faisable ou pas, et si oui, combien ça coûte. Prenez conseil auprès des professionnels, demandez des devis, comparez non seulement le prix mais aussi ceci est proposé pour le prix en
Quelques reflexions sur ce qui se passe en France…

Quelques reflexions sur la France actuelle. Les amis, pour une fois, je ne vais pas parler de graphisme, de com’ (quoique..), de design. Ou bien d’autres sujets qui me passionnent et qui font partie intégrante de mon métier. Je voudrais parler dans ce billet de la France. Pays qui m’a accueilli il y a 20 ans maintenant et qui, sincèrement, m’inquiète. Aujourd’hui, nous sommes le 11 novembre, pour rappel, le jour de la signature de l’Armistice de la Première Guerre mondiale. Conflit, durant lequel la France et tous les autres belligérants ont pris extrêmement cher. Car c’était le premier conflit utilisant les armes dites « modernes ». Depuis 1918, en France, cette journée est l’occasion de commémorer les morts durant cette guerre. Se rappeler de l’histoire et des leçons qu’elle nous apprend. Et aujourd’hui, le président François Hollande se fait huer et conspuer. ALLO, comme dirait Nabilla, le président Français se fait huer. Deux fois, une fois à Paris, une autre à Oyonnax. Je ne me rappelle pas de la dernière fois que ce genre de choses s’est produite. Ni dans les livres d’histoire, ni pendant ma courte mais intense existence jusqu’alors. Il y a comme un problème, vous ne trouvez pas ? Moi, si. Ensuite, la Bretagne. Les Bonnets Rouges, qui au début, du moins, contestaient une taxe de plus. Au début, oui, mais maintenant, ça va bien plus loin. Puisqu’apparemment, les Bretons s’en prennent à tout ce qui peut représenter l’État. Que ce soient des radars, les glissières de sécurité sur les autoroutes et ainsi de suite. Et, en plus ils commencent à faire des émules, un peu partout en France. A Paris. Même si je pense que les jeunes portant le bonnet rouge sur les Champs ont plus ou moins fait de la récupération symbolique. Vers Bordeaux, dans le sud de la France aussi. En allant en rendez-vus, j’ai vu sur plusieurs balcons à Montmartre des drapeaux Bretons, aussi. Je ne pense pas que Montmartre est devenue une « Petite Bretagne » en l’espace de 2 semaines. Là, si vous voulez, ce qui me pose problème, c’est l’Histoire avec un grand H. Je me rappelle de ce qui se disait de la prise de pouvoir par Hitler en Allemagne en 1933. Ce mec a été démocratiquement élu. Contrairement à ce que pensent nos chères têtes blondes, brunes ou rousses. Il devient « fuhrer » un an après et ce, avec les conséquences que nous connaissons tous. Le tout dans un contexte d’une situation économique désastreuse et d’un « pouvoir d’achat » quasi inexistant. Je ne sais pas pour vous, mais à l’heure actuelle, en France, nous ne sommes pas loin d’un scénario similaire. A vrai dire, j’appréhende énormément la France en 2017. Sans vouloir être alarmiste, ni parano, mais je n’ai vraiment pas l’impression que le peuple de France a confiance dans les politiciens présents. En revanche, il y a de plus en plu de gens qui envisagent de voter FN aux prochaines éléctions. Et ce n’est pas du tout lié au fait que les Français soient devenus fachos. De surcroît, les Français deviennent de plus en plus « politisés ». A l’instar de ce qui se produisait en URSS fin des années 1980, début des années 90. Ce qui n’est pas topissime non plus, bien au contraire. Il existe juste une loi à la con, qui se répète inlassablement dans touts système politique se disant démocratique. Quand le peuple n’a plus confiance dans sa classe politique, l’extrême droite monte. Regardez la Grèce, vous allez comprendre très vite. Un leader charismatique qui promet de faire remonter l’économie, donner du boulot à tout le monde tout en tenant ses promesses sera écouté religieusement et suivi quoi qu’il dise. Et là aussi, cela me pose un sérieux problème. Bref, j’ai bien l’impression que ce n’est que le début. L suite va être bien plus « drôle », si vous me permettez cet écart de language. D’autant plus que la communication du pouvoir en place (on y arrive) n’est pas vraiment claire. Là, précisément, l’heure commence à devenir grave. Et je conçois parfaitement que le gouvernement dise des choses tout à fait vraies. Seul problème, c’est que vu le nombre de bourdes et de promesses non tenues, plus personne ne prête le moindre crédit au discours tenu. Là, il suffit d’ouvrir un livre d’Histoire pour imaginer la suite des évènements en France, et par extension en Europe. Voilà, les potes.
Plaquette IDRAC – Réalisée pour l’agence Cinq Mars

Plaquette IDRAC Cette plaquette a été réalisée dans le cadre d’un projet de mise à jour des outils de communication de IDRAC pour l’agence Cinq Mars (http://cinqmars.fr/) La plaquette est un outil de communication incontournable pour les écoles de commerce comme IDRAC. Il s’agit d’un document imprimé qui présente les principales informations sur l’école, comme ses programmes d’études, ses partenariats, ses équipements et ses résultats académiques. Il est souvent distribué lors des salons d’orientation ou envoyé aux potentiels étudiants pour les inciter à postuler. Les plaquettes peuvent également être utilisées pour communiquer sur les événements organisés par l’école, les conférences ou les ateliers. Elles peuvent aider les étudiants à mieux comprendre les opportunités de carrière offertes par l’école et les aider à faire leur choix d’études. Pour être efficace, une plaquette doit être attrayante, bien conçue et facile à lire. Il est important de mettre en avant les points forts de l’école et de fournir des informations claires et précises. Les photos et les graphismes doivent être de qualité pour attirer l’attention des lecteurs. Il est également important de prendre en compte les besoins et les intérêts de la cible visée lors de la conception de la plaquette. Pour IDRAC, cela peut inclure des informations sur les programmes d’études proposés, les perspectives de carrière pour les diplômés et les opportunités de stages ou d’échanges internationaux. La plaquette est un outil efficace pour communiquer sur les offres de l’école de commerce IDRAC, et peut aider les étudiants à faire leur choix d’études. Il est donc important de consacrer du temps et des moyens pour en créer une qui soit professionnelle, attrayante et informative.
Asahi Breweries Ltd (France) – Campagnes 2006-2011

Campagnes de communication Asahi Breweries Ltd (France), 2006-2011. Asahi Breweries, Ltd. est une entreprise japonaise bien connue pour ses produits de bière et de boissons gazeuses. En 2006, il a été décidé de développer son activité en France en créant une filiale appelée Asahi France S.A.S. Pour promouvoir ses produits et renforcer sa marque sur le marché français, l’entreprise a mis en place une stratégie visuelle efficace basée sur des images. Vous pouvez voir des images de la campagne publicitaire de la marque en France. Ces images mettent en valeur les produits de la marque, en particulier la bière Super Dry, qui a été lancée avec succès sur le marché français. Les photographies utilisent des couleurs vives et des images accrocheuses pour attirer l’attention des consommateurs et les inciter à essayer les produits Asahi. En utilisant des éléments de la culture japonaise tels que des bâtiments emblématiques du Japon, Asahi a voulu insister sur les images d’Épinal du consommateur français vis à vis du Japon, pour mieux s’enraciner dans le marché français. Cela a renforcé la notoriété de la marque Asahi en France et a incité les consommateurs à se rapporter à la marque comme étant représentative de la culture nippone. Les images de la campagne publicitaire montrent également des illustrations positives associées à l’image du Japon et la bière Asahi, renforçant ainsi l’idée que ces produits sont associés à des moments de plaisir et de détente. En somme, les images de la campagne publicitaire d’Asahi en France ont joué un rôle clé dans la promotion des produits et le renforcement de la marque sur le marché français. Si vous recherchez des informations sur cette marque japonaise, ces images sont un excellent moyen de découvrir les produits et la stratégie visuelle de la marque de 2006 à 20111. Voici les diffèrents visuels des campagnes 2006 – 2011.
Logos

Logos. Les logos sont l’un des aspects les plus importants de la communication visuelle d’une entreprise. Cette petite chose, souvent, et à tort, considérée comme insignifiante, est le visage de ladite entreprise. Et il vaut mieux que son visage ressemble à celui d’un top-model, plutôt qu’à celui de Elephant Man, n’est-ce pas? Il est crucial pour une entreprise de disposer d’un logo efficace, qui reflète sa personnalité et sa mission. Les logos sont souvent la première chose que les clients remarquent lorsqu’ils découvrent une entreprise, et c’est pourquoi il est important qu’ils soient percutants et mémorables. La création d’un logo réussi nécessite une réflexion approfondie sur l’image que l’on souhaite renvoyer. Il est important de prendre en compte les valeurs de l’entreprise, son public cible et ses concurrents. Les logos réussis sont souvent simples, universels et faciles à reconnaître. Il est également important de considérer les différents contextes dans lesquels le logo sera utilisé. Il doit être efficace à la fois sur du papier, des objets promotionnels, sur des vêtements, sur les réseaux sociaux, etc. Il est important qu’il soit adaptable à différents formats et tailles pour s’adapter à tous les besoins de l’entreprise. Enfin, il est important de choisir des couleurs judicieusement pour renforcer l’impact visuel du logo. Les couleurs peuvent évoquer des émotions et des associations d’idées, il est donc important de bien les sélectionner pour renforcer l’image que l’on souhaite renvoyer. Les logos sont l’un des aspects les plus importants de la communication visuelle d’une entreprise. Ils doivent refléter les valeurs de l’entreprise, être percutants et mémorables, et adaptables à différents contextes et formats.
Graphiste freelance à la recherche d’un CDI

Graphiste freelance à la recherche d’un CDI Bonjour ! Je suis graphiste freelance (depuis 2005), je fais tout ce qui peut se regarder pour communiquer autour d’un produit, un artiste, une chose, un truc, bref, je fais du print (des logos, des brochures etc.), du web (des sites et ainsi de suite), de la 3D (pack, modélisation, architecture, animation globale, allant du simple au très complexe, comme l’animation de personnages) et forcément du motion et de la vidéo. Cependant, malgré tout ça, même si je reste intéressé par des missions freelance (car l’un n’empêche pas l’autre), je suis à la recherche extrêmement active d’un CDI au sein d’une agence de communication ou chez l’annonceur, correspondant à mon expérience et mes compétences. Pour ceux, éventuellement, qui auraient peur d’engager un employé ayant été freelance pendant si longtemps pour des raisons diverses et variées, sachez que cette expérience m’a apporté la polyvalence, la capacité à comprendre à demi mot les besoins du client ou du projet qui m’est confié ainsi que la rigueur et l’adaptabilité quasiment à toute épreuve. Pour me contacter, si vous avez une proposition intéressante à me faire, vous avez la possibilité de le faire via mon portfolio ou par téléphone au 06 99 32 75 63. Vous pouvez voir mes réalisations passées sur mon site-portfolio : http://www.sergueitchepik.eu En ce qui concerne mon parcours, voici également le lien vers mon CV : http://www.sergueitchepik.eu/wp-content/uploads/2015/07/cvsergueitchepik2015fr.pdf Et, pour couronner le tout, pour avoir un aperçu de ce que j’ai pu faire depuis 2005, voici le lien vers mon profil LinkedIn :